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Chat gris

De la Palestine à l’Iran, le grand écart de la gauche

Photo du rédacteur: Buck Et Le ChatBuck Et Le Chat



Il ne nous aura pas échappé qu’à la suite d’un soutien de la part des islamo-gauchistes, qui se voulait sans faille aux Palestiniens, celui-ci soit devenu un soutien indéfectible, ou pseudo, des femmes qui se révoltent contre… ce que les mêmes Palestiniens imposent à leurs propres femmes.

Mais on commence à avoir autant l’habitude que la nausée en voyant la gauche courir de droite à gauche (justement) comme un poulet sans tête, en quête d’une idéologie de plus pour laquelle combattre. Fi, des contradictions, il faut s’insurger ! Coûte que coûte, et qu’importe si hier on défendait les islamiste, aujourd’hui il faut lutter contre ce voile immonde qui fait tache sur la tête des femmes en Iran. Mais pas en France. Étonnant non ?

Que des journaux comme Libération fasse la constatation lui-même quand on revendique la laïcité et le port du même voile islamique à l’école, et que l’on prend la défense dans le même temps des femmes Iraniennes. Au lieu de faire pamphlet pour avoir la signature des mêmes islamo-gauchistes qui ne voient « aucun problème » à l’islamisation de la France, s’insurgent contre de pseudo violences policières, s’étranglent de l’esclavagisme du XVIIIème siècle et le patriarcat de l’homme blanc hétéro, Libération comme bien des gauchistes devraient, puisque d’après eux ce sont les seuls à être « intelligents », « éveillés », qu’ils nous expliquent donc comment on peut soutenir la prolifération d’un voile islamique et vouloir « soutenir » des femmes qui le rejettent, le jettent au feu, au péril de leur vie.

Expliquez-nous donc cela, comme si on avait 6ans. (Toi aussi t’as vu « Philadelphia » ? Tom Hanks est superbe !)

Vu et entendu à la télé

Dans la même veine islamo-gauchiste, on s’en voudrait presque de ne pas citer Gilles Verdez, pseudo journaliste à deux neurones qui se boudent, et à l’intelligence limité par sa propre idéologie. L’incongru ose dire, en direct et devant des millions de téléspectateurs, que les terroristes de Paris, des terrasses et du Bataclan ne sont pas des « monstres ». Pas des monstres ? Ces lâches qui ont tirés sur des foules innocentes à la Kalach’ ? Qui se sont fait sautés à la ceinture explosive dans la foule ? Qui ont massacrés consciencieusement et méthodiquement au Bataclan, en profanant les corps, en mutilant ?


Ces mêmes monstres qui battent à mort une femme parce que son voile est de travers ?

Il n’y a pas de « pourquoi » à ce qu’ils ont fait. Il n’y a rien à comprendre dans les actes d’un monstre. Un monstre est ce qu’il est, il agit comme sa propre nature lui impose d’agir. Point. Et de croire qu’il y a une étincelle d’humanité dans l’esprit de ces sauvages sanguinaires, c’est déjà vouloir les pardonner, leurs trouver des excuses, les absoudre de leurs péchés. Ces résidus de poubelles avariés n’ont plus rien d’humain, se sont retranchés eux-mêmes de l’humanité, sont devenus en conscience, volontairement, des monstres.

Refuser de croire que l’homme, l’être humain, est capable de devenir un monstre, c’est nier la responsabilité d’Hitler dans la Shoa, ou celle de Staline, Mao, Ceausescu, Bokassa, Kim Jong, Pol Pot, etc.

On n’a pas cherché à savoir « pourquoi » Mengele a fait toutes ces expériences horribles sur l’homme. On a juste pris les résultats de ses expérimentations monstrueuses pour se les appropriées. Qui sont les monstres alors ?

Et pourtant, là encore l’idéologie à deux vitesses nous donne la nausée. On pourrait alors, pour ces motifs, et bien d’autres, lui interdire le mot « monstrueux », « monstruosité », et autres qualificatifs dont il a le bec plein.

On l’a dit, on se répète, nier la monstruosité dont l’homme est capable, c’est nier la réalité. On a vu de quoi l’Homme est capable, au nom d’une idéologie, d’un drapeau, d’un homme ou d’une conviction. La capacité d’invention d’horreurs contre ses semblables est sans limites, sauf celles de l’imagination.

Il suffit de regarder, à travers les siècles, les multitudes de tortures, de meurtres, de guerres pour s’en rendre compte. N’est-ce donc pas un monstre qui agit comme tel, quand il saccage l’innocence d’un enfant, fait brûler vive une femme, répand du gaz moutarde ou atomise des villes ? On répondra à la nécessité de la guerre pour les uns, à la nature humaine pour les autres. Et c’est justement là que réside la monstruosité. Dans la nature humaine elle-même, et sa capacité d’inventer mille supplices, mille horreurs, mille monstruosités. On n’a même pas à aller très loin dans l’Histoire de l’humanité, tant aujourd’hui, justement à cause de cette idéologie islamo-gauchiste, l’horreur s’impose à nous jusque dans nos rues. À nos portes.

Et pourtant, lorsque l’on parle de l’Humanité, on pense d’abord aux grandes réussites, aux exploits, à la marche du progrès, à l’humanisme et la probité de l’Humanité. Car ce sont là les qualités premières de l’Homme. Neandertal avait une conscience du groupe, du bien-être du groupe, de sa femelle, de sa progéniture. Il aidait le vieillard, le mutilé, l’handicapé. Il faisait ce geste si plein de cette Humanité, que celui de tendre la main au plus faible. En tendant la main à un autre, voici que se révèle l’Être Humain dans ce qu’il a de plus grand, de plus beau, de plus noble. Les monstres n’en font pas partis, justement parce que ce sont des monstres, qui pensent, vivent, voient le monde, comme des monstres. Et il n’y a aucune humanité dans les yeux d’un monstre.

On ne saurait que trop conseillé à Verdez et ces petites copines idéologues gauchiste, de regarder l’humanité, non par l’œil idéologique abscons, mais par celui de la réalité. Et d’admettre que oui, finalement, un monstre doit se voir dénier la qualité première d’être humain.

Et vous l’admettez vous-même, tant vous êtes prêt, et on le voit et l’entend tous les jours, à pardonner la monstruosité, à applaudir le prosélytisme d’un islamisme assassin, à vous comporter en monstres vous-même, car vous déniez à ceux qui ne pensent pas comme vous, le droit à la liberté, à l’expression, à une autre idéologie d’exister. Vous vous confortez dans votre bauge insalubre d’une pseudo tranquillité de conscience.


Mais le jour où la réalité vous rattrape, à l’image de cet adjoint au maire des Mureaux, socialiste, qui préfère partir parce que justement, la réalité qui frappe tous les Français le frappe en pleine figure, vous vous dressez sur de tout petits ergots en vous targuant d’être plus Républicains que la République, de cette République, de cette Nation, dont vous passez le temps à saper les fondations.


Quand le mur vous tombera sur la tronche, là, alors, vous en serez encore à trouver dans quel sens tourner vos vestes que le travail, la sale travail qui salit les mains, et les consciences, sera fait par ceux-là même que vous avez tant maudits.



Buck Et Le Chat Français intégristes, pro-libertés des femmes et anti-gauchistes



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