top of page
Chat gris

Bientôt la dernière séance ?

Photo du rédacteur: Buck Et Le ChatBuck Et Le Chat

On se rappel avec nostalgie Eddy Mitchell assis dans une salle de cinéma vide chantant la dernière séance. De fait, le 7ème art est en danger de disparition et la cause est multiple.


Entre la prolifération des chaînes « Netflix », les programmes sur la TNT gratuit ou non, le COVID, le coût de la vie et les attentats, de moins en moins de gens vont au cinéma. Cette grande désertion reflète aussi une paresse des producteurs de films qui laissent « filtrer » leurs films, pour en faire la promotion, sur les plates formes de téléchargement et de streaming.


La faute aussi, peut-être, à la disparition des grands monuments qui ont fait les beaux jours de ce 7ème art en pleine dès-sérance, remplacer par des « stars » qui n’ont aucuns talents, aucun charisme, et surtout aucun glamour, comparé à des Bourvil, des Charleston Eston, Delon, John Wayne, et tant d’autres disparus, à notre grand regret.

Il en est de même pour ces grands producteurs, qu’étaient Audiard, Lelouch, Alfred Hitchcock, et comme on est pas encore trop réveillé on va dire « tant d’autre encore ».


Si le cinéma est en voie de disparition, c’est bien la faute à cette inconséquence du nivellement par le bas, lorsque l’on fait la promotion d’un film insultant la police en « valorisant » les rodéos sauvages, lorsque les acteurs affichent leurs mépris des spectateurs Français, et des valeurs de la France, lorsque qu’ils se font les représentants d’un courant idéologique, que ce soit Mito ou BLM, jusqu’aux pseudo « enfoirés » qui seraient reniés séance tenante par Coluche lui-même.


La Woke culture n’est pas, elle aussi, en reste et la cause de cette désertion quand elle impose son diktat inepte sur des films comme Cendrillon, Blanche neige, Autant en emporte le vent, et combien d’autres encore.

Faisant des « remakes » lissent, froids, idéologiques, où il faut absolument respecter la parité homme/femmes, avec la représentation LGBT, la suppression racistes des nains, l’adoption du « multiculturel », qui font des grands films d’autrefois des navets insipides ne respectant même les grands auteurs de ces contes et films.


Bientôt une Jeanne d’Arc lesbienne, noire et voilée à la place de la blonde Pucelle d’Orléans, un De Gaulle grimaçant et musulman, les sept mercenaires en Village People, Moby Dick et son capitaine Achab transgenre et transformiste végétarien, un homme et une femme revu par des racailles pédés et lesbiennes qui jurent sur le Coran toutes les trois secondes.


Si le 7ème art est en danger, c’est parce qu’on a laissé entrer les idéaux sur les tournages, c’est parce que l’on veut, non plus faire du divertissement ou de la culture, mais du prosélytisme idiot de la Novlangue, du multiculturalisme, de la défense des nains (en les privant d’écrans), de la cause LBTG cul-cul, et de la racaille.


Nous n’allons pas au cinéma pour être « rééduqués », et la désertion des salles met bien en évidence ce fait, il y a assez d’Omar Sy et consort sur le petit écran pour cela.


On veut du cinéma qui fait rêver, et non nous laver le cerveau. On veut revoir, comprendre, réfléchir et rire en suivant des histoires dérouler sans qu’il y ait des sous-entendu idéologiques à chaque phrases.

Il y a bien assez de sottises comme ça à chaque coin de rue.


Bientôt Louis XIV sera un pédé négro, ou un islamiste qui rigolera tout seul de ses blagues à deux balles, Fort Alamo sera réécrit pour raconter comment des racailles ont résistés pendant trois jours à l’&assaut d’une police blanche raciste, Le Bossu de Notre Dame musulman courtisera une négresse lesbienne, Don Camillo et son principal personnage remplacé par Omar Sy, et Jean Moulin sera un transsexuel non genré, faisant rempart de son corps contre les fascistes intolérants blancs.


Alors, est-ce étonnant que le 7ème art soi en perdition ? A notre sens, non. Lorsque le même 7ème art ne fera plus de politique, lorsqu’il ne se fera plus l’étendard de l’idéologie en vogue, lorsqu’il ne fera ni propagande, ni leçon de moralisme, alors, il redeviendra ce qu’il était avant, et les acteurs s’attacheront plus à faire de la qualité, à coller aux personnages dont ils ont la charge de représenter, en dehors de toutes autres conceptions que l’amour du cinéma.


Mais, soyons réaliste, le temps de la révolution et du retour aux valeurs premières du cinéma n’est pas pour demain. Et il sera alors bien difficile de retrouver les écrits originaux, les scénarios premiers, après les autodafés des « non genrés » et des LTGBTQRZ.

Comment retrouver les arcanes d’une « Traversée de Paris », d’un De Funès allié avec un Gabin et un Bourvil, transportant un cochon dans leurs valises, alors que l’on renie même la nourriture non végane.


Le secret perdu de ces grands acteurs, producteurs, scénaristes de ces temps lointains, désormais, c’est justement de ne prendre aucuns partis, de refuser de jouer la politique idéologique et de produire des films, non pour « coller » aux idéaux du jour, mais pour faire rêver, faire comprendre des faits Historiques, faire rire en des époques moroses.


De fait, on aurait pas lu Shakespeare si l’on n’avait vu « Le Roi Lear » au théâtre, on n’aurait pas lu Moby Dick si on n’avait pas vu le film, on n’aurait pas été intéresser par l’Histoire de la seconde guerre si on n’avait pas vu « Le Jour le Plus Long », ou « Les Croix de bois », ni l’Histoire de France sans les « Ivanhoé », « Les Trois Mousquetaires », et autres films sur Charlemagne, Roland, Jeanne d’Arc (et oui, encore elle), Louis XIV, Louis XI, Louis XVI, la Révolution, le moyen-âge, Napoléon, Richard Cœur de Lion, etc…


Autant d’Histoire qui n’est même plus apprise à l’école, alors que de notre temps on transpirait à grosse gouttes en essayant de se rappeler la date de la bataille d’Alésia.

On en veut pour preuves la différence entre « hier » et aujourd’hui, alors que l’on a eu la chance d’être scolarisé au milieu des châteaux de la Loire, que l’on visitait pour chaque période de l’Histoire de France, et le fait que l’on n’apprend même pas, en ayant la tombe à moins d’un kilomètre, la chanson de geste de Roland, Durandal et les grandes batailles contres les barbaresques dans les chaines Pyrénéennes, alors qu’on avait appris l’histoire de la fondation de l’ancienne abbaye, par Alcuin, et des attaques des vikings qui mettaient le feu au faite de la porte principale.


C’est dire le gouffre entre aujourd’hui et « hier », et c’est nous, les Patriotes, que l’on accuse d’être « rétrogrades » alors que l’on veut le retour de l’apprentissage de notre Histoire pour mieux bâtir le monde de demain.

Est-ce vraiment le Mal absolu de rendre à nos enfants les racines que l’école idéologique coupe ?


Que ce soit au cinéma ou à l’école, l’amour de la France se construit à travers son Histoire, au cinéma pour la découvrir, dans les livres pour l’apprendre.


Le plus dramatique de tout cela, et pour conclure, c’est que l’on ne découvre plus rien au cinéma, que l’on ne rit plus, qu’on n’apprend plus rien. Pourquoi aller, alors, perdre deux heures de sont temps pour voir des singes grimaçants une version idéologisée au lieu d’un 7ème art perdu ?

Comment redonner le goût de la culture, du savoir, des racines, à l’ère de l'idéologisme Woke, d’internet, du streaming, et des fakes news complotistes, aux générations futurs ?


En redonnant d’abord le goût de la lecture et des livres. En nourrissant l’intellect de films choisis. En faisant réfléchir et en laissant appréhender, s’approprier, la réflexion et la construction des idées, et non d’avaler le prédigéré idéologique d’aujourd’hui.


On a donner le goût des livres et du savoir, on lui fait découvrir le cinéma, le vrai, on lui demande de réfléchir et de donner sa compréhension de l’histoire lue, ou vue. On lui fait acquérir une indépendance de réflexion et le choix de la liberté de penser, d’opinions, dans un monde qui remet en cause même l’intelligence.


On construit patiemment un Français, responsable de son Histoire, fier de ses racines, amoureux de son pays.


Monstrueux n’est-ce pas ?


On entend les pompiers venir pour incendier nos livres. Fahrenheit 451, l’avenir de demain.


Buck et Le Chat Cinéphiles et lecteurs assidus

3 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Comments


  • alt.text.label.Facebook

© 2022 par Buck Et Le Chat. Créé avec Wix.com

bottom of page