Il est quand même déconcertant de voir tout ce qui passe sous les radars, tombent dans l’oubli, devient dénué d’intérêts.
Aujourd’hui, la petite Lola est enterrée, alors on n’en parle plus en préférant s’étendre sur sa meurtrière, son emploi du temps en cellule, ses petites colères et ses petites joies. Comme si on en avait quelque chose à faire, alors même qu’on voudrait la voir oublié dans quelque cachots sombre et humides. Voire morte et enterrée elle aussi, pour faire bonne mesure.
Aujourd’hui la grève des pétroliers n’est déjà plus qu’un souvenir déplaisant, malgré les assauts des médias pour tenter de faire rebondir la colère des gens sur le prix du carbu. Sans grand résultat. Le Français moyen est content de pouvoir enfin remplir son réservoir en se vidant les poches. À 2€ le gasoil, l’or noir a encore de beaux jours devant lui et Total pourra engranger bientôt 20 milliards de bénéfices, ainsi qu’EDF et GDF qui augmente de 10% leurs prix tous les 4 mois.
D’ailleurs, on ne parle jamais que des bénéfices de Total, mais jamais du chiffre d’affaires, qui doit être bien plus élevé avant le prélèvement des charges, salaires et dividendes pour les actionnaires. Vous voulez plus de pognon pour les fins de mois difficile ? Prenez des actions chez Total !
Aujourd’hui les attentats et leurs victimes sont enterrés pour la deuxième fois, la justice a rendu son verdict : les victimes n’avaient qu’à ne point se trouver là, et les djihadistes sont coupables d’avoir le cerveau dérangé.
On ne parle plus que des guet-apens, des citées qui s’embrasent tous les soirs, des policiers renversés ou blessés en service par de la racaille ou des OQTF non expulsés, comme autant de faits divers de la rubrique « chiens écrasés ».
On s’entiche du dernier mot du moment dans une assemblée nationale qui ressemble plus au théâtre de Guignol, celui-ci se faisant bastonner par l’affreux gendarme de la bienpensance réprimant à coups de bâtons la liberté d’expression et la cause des Français.
Les journaliste blasés nous jettent un sourire carnassier en ayant l’air de se rappeler « qu’au fait… » un autre multirécidiviste islamiste à été relâché, que d’autres saloperies ont blessés 12 policiers, que le coût de la vie dépasse les capacités financières du Français moyen, que notre liberté passera par la mondialisation, l’Europe et l’immigration, le tout obligatoire, et avec obligation de fermer sa gueule et de n’avoir rien à redire.
Jusqu’à l’indécrottable crétin de Traoré qui vient pédant nous donner de grandes leçons de morales, et, rions ensemble, d’Histoire de France. Lui qui se dit « révolutionnaire », et sa famille de violeurs, de dealers, de voleurs et autres joyeusetés communautaristes, ségrégationnistes et racistes, vient installer sa graisse noire, et se révolte que l’on dise qu’il est noir.
Le Wokisme a encore frappé du manque de consistance, de contact avec la réalité, quand un noir s’offusque que l’on lui fasse remarquer sa couleur de peau, se drapant dans l’outrage à sa petite personne, et au racisme de dire qu’il est noir, alors même que le Wokisme préconise de d’abord considérer l’Homme noir comme étant noir AVANT la reconnaissance d’être une personne.
L’indécence elle-même ne se cache plus : elle s’exhibe et pérore en liberté au lieu de se cacher honteusement pour se faire oublier.
Pendant des années le salaire moyen (le fameux SMIC) des Français a augmenté de 0,2 à 0,3%, alors que tous les prix augmentaient, eux, de 10, 15, 20, 40 %. Il était bien évident, et sans être comptable, qu’à un moment donné et sans nivellement, les salaires ne suffiront plus à payer les factures. Ni le carburant, ni la nourriture. Et le Français moyen se retrouve réduit à vivre comme la planète : en sursis, à crédit.
Crédits aux taux, là encore, tellement exorbitants que l’on ne cesse de rembourser en 20ans ; un crédit de 6mois.
Mais, la belle affaire ! Ne sommes-nous pas en guerre ? En guerre contre « l’hydre » islamique, en guerre contre le COVID, en guerre aux côtés de l’Ukraine, en guerre contre le radicalisme, le séparatisme, le communautarisme, le racisme et tout ce qui se termine en « isme » ?
Don Quichotte nous force à le suivre dans ces combats contre des moulins à vents qu’il installe lui-même partout dans le pays. « Je vois des dragons, aux ailes immenses, qui crachent des flammes », et le voilà chargeant dans son pays imaginaire, d’imaginaire dragons et d’innocents moulins, de toute sa fougue verbale, en croyant être l’élu aimé de tous.
Sancho en vaut guère mieux, mais on le disait déjà : au royaume des aveugles, les Bornes sont rois.
Et pourtant, les Français commencent à s’agiter sous les couvertures. Les yeux s’ouvrent sur la dureté de la réalité, petit à petit, trop lentement au goût de certains, trop vite pour d’autres. Le voile rose se déchire peu à peu et laisse entrevoir, malgré la poudre de Perlimpinpin, le vrai visage de la France.
Et c’est un visage qui nous blesse au cœur. Car c’est un visage tuméfié, sali, ensanglanté, honteux, trompé qui nous renvoi à notre propre image. C’est le visage que la bienpensance refuse de voir, préférant lui superposer celui d’une Marianne négro-islamiste, heureuse d’être la descendante d’esclaves africains vendus comme du bétail aux arabes, aux blancs, par son propre peuple, pour le reprocher à ces racistes de blancs.
Mais voilà que la réalité s’accroche et déchire le voile.
Jeanne d’Arc était blonde et blanche. Marianne, une révolutionnaire debout sur les Barricades. Marie Curie une femme blanche. Élisa Deroche, Maryse Bastié, Hélène Boucher, Adrienne Bolland et combien d’autre femmes, blanches, ont à jamais marquées l’Histoire de France, aux côtés de la Comtesse Dubarry, de Madame de Fontenais, de Catherine de Médicis, Anne d’Aquitaine et d’autres encore.
Pour un pays faisant orgueil de son patriarcat, les femmes ont toujours une place de choix dans notre Histoire.
Et tous les hommes qui ont de la même façon, construits la France, l’ont bâtie, l’ont transformé, de Vercingétorix à De Gaulle, en passant par Dagobert et les rois fainéants, les fous, les simples, les orgueilleux, de Louis XI à Louis XVI, ou encore de Bonaparte à De Gaulle, et même Pétain, pour la défaite de la France et la collaboration, mais aussi pour la victoire de Verdun.
Comme quoi, tous, les bons comme les mauvais, les génies comme les lâches, les héroïques comme les traîtres, tous blancs, tous Français, sont autant de preuves que la France peut, et sait, très bien se passer de tous ceux qui n’aiment pas la France.
Et la France n’est pas terre d’Algérie, elle est terre de France. Elle n’est pas « créole », elle est Française. Elle n’est pas raciste, elle est tolérante. Elle n’est pas noire, elle est blanche. Elle n’est pas islamique, elle est Chrétienne.
Pour la France, nous sommes, ou nous devrions dire nous devrions, être tous égaux, tous ses enfants. Mais les islamo-gauchistes, les Wokistes et autres LGBTS écolos plantigrades, veulent détruire cette image de la France, nous séparer de nous-même.
Ils veulent donner à la France l’image de l’Afrique et de ses bidonvilles, troquer la culture Française pour l’Africaine ou l’islamiste. Ils veulent détruite le peuple Français pour imposer le multicolore, en interdisant le blanc.
Nous en sommes réduits à préférer la vérité de nos ennemis que les mensonges de nos propre traitres.
La France n’a pas à avoir honte de son Histoire, et le peuple Français n’a pas à avoir honte de leurs ancêtres. Seuls les malfaisants censeurs bien-penseurs sont à l’affut de la moindre faille pour l’agrandir, séparer les uns des autres, répandre le venin du racisme et de l’intégrisme. On nous somme de devenir radicalisés, racistes, anti-culture Française, antinomique à nous-même.
Et lorsque l’on se rebelle, que l’on refuse l’idéologie destructrice de la conscience, nous sommes désignés à la vindicte des spécistes anti-racistes et communautaristes comme de vils racistes anti-mondialistes, des rétrogrades parce que nous voulons élever la France à la hauteur de notre socle Historique, et non la laisser choir aux mains des Africanistes et des transformistes non genrés.
Aujourd’hui, il est déconseillé de revendiquer son appartenance à la France.
SAUF pour un match de foot, joué par une équipe africaine. Sauf pour mettre des panneaux facebook lors des attentats.
Sauf quand on est prêt à donner sa vie, pour elle.
La France mérite d’être mieux traitée. Le peuple Français mérite d’être mieux considéré.
Ne vaut-il donc pas mieux être réveillés par la main d’un ami, plutôt que par la lame traitresse ?
A chacun son choix. Mais si on est Français, avant d’être noir, juif, musulman, blanc, pédé, écologiste, gauchiste, on se doit ouvrir les yeux sur la réalité. Et ensemble, nous devons être main dans la main pour rendre à la France sa beauté, et sa fierté.
Nous devons nous réveiller ensemble, non pour nous dresser les uns contre les autres, mais pour reconstruire un peuple abandonné. Écartons seulement les pleutres, les lâches, les traitres et les séparatistes, pour ne garder que l’essence même de la France : son peuple d’hier et d’aujourd’hui.
Pour quoi ? Pour la France bien sûr !
Pour être au chevet de la France aujourd’hui malade, rongé par la gangrène islamiste, communautariste, négrophile et déconstructrice. Rétablissons la Vérité Historique, non pour accuser mais pour faire mieux et nous unir autour d’un même passé. Rendons le mérite aux méritants, et le déclassement au fainéants. Rendons le salaire aux travailleurs, et réduisons les frais pour les chômeurs. Rendons nos usines à la France, pour retrouver le plein emploi. Rendons sa souveraineté à la France, et quittons ce qui nous asphyxie. Rendons à l’Europe sa dignité, et détruisons l’Europe technocratique.
Nous avons tout à gagner, et si peu à perdre, en s’engageant pour la France. Et non pour des étrangers qui viennent nous assassiner, cracher sur nos valeurs et notre culture, choyant le radicalisme, qu’il soit islamiste ou écologiste (ce qui revient au même).
Rendons à la France la beauté de ses valeurs et de ses traditions.
La France nous survivra à tous, à nous de faire en sorte que la France reste éternelle.
Buck Et Le Chat
Intégralement Français, radicalisés au jambon-beurre
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