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Enfin ! Internet, le retour. Après la tempête passée sur la Nouvelle -Aquitaine on était sans internet depuis dimanche soir. Il a quand même fallu poussé de la voix pour que l’opérateur s’agite enfin et fasse le nécessaire pour nous rétablir. On lui fera pas de la pub mais ça commence par « S », et cela se termine par « R ».
Mais alors, qu’a-t-on bien pu faire pendant cette coupure, sachant que pas d’internet, pas de télé, pas de téléphone, comment a-t-on survécu ?
On ne vous cache pas qu’il a fallu ressortir les silex pour allumer le feu et faire démarrer les ordinateurs, partir à la chasse aux infos par la radio. Se battre à mains nues avec la télé pour capter les chaines hertziennes. Il a aussi fallu imprimer les documents manuellement pour les enregistrer plus tard dans le cloud, via une imprimante qu’il aura fallu relier par un câble à l’ordinateur et qui cherche des pilotes sur… internet.
Il nous a donc fallu adopter un rythme de vie monastique, sans technologies, voir même revenir aux âges sombres des ténèbres de Rahan.
On aurait pu penser utiliser nos téléphones portables, mais voilà que le réseau du même opérateur de merde faisait défaut, la technologie, décidément, n’aime pas le mauvais temps. Alors foin de tweet, de haztabe, de post au vitriol, nous voilà revenu à la machine à écrire et à la plume. Mais ! Mais car il y a toujours un « mais », mois du printemps, ce fût aussi le retour à une vie oubliée, passée, de nos jeunes années et d’avant internet.
C’est aussi, malgré les imprécations contre le putain de câble de merde arraché par le vent, la joie de goûter le silence, de retrouver les passions d’antan que l’on avait oublié : la lecture, la peinture, les jeux de société avec Le Chat qui triche aux cartes, et le temps qui s’écoule lentement à regarder tristement par la fenêtre en attendant que la chérie veuille bien nous ouvrir. Car en plus, on se gèle les couilles !
C’est, enfin, le temps de prendre son temps, de goûter ce retour à la vie, déconnecté des médias et des réseaux sociaux, sans être harcelé par du démarchage téléphonique et agressé par les notifications intempestives signalant crimes et délits. On aurait pu, on aurait même repris du plaisir à faire une balade à cheval au milieu de la nature, ou aller faire de la photo.
Vous devriez essayer, un jour ou deux au début, de vous déconnecter de la matrice. Ça fait du bien.
Bien sûr, la génération actuelle n’a pas connu ces temps anciens où la priorité n’était pas de se faire gonfler les lèvres au botox pour faire des selfies ou placer des produits car on est trop fainéants pour faire autre chose. Évidemment on faisait quelque chose d’autre à la place en faisant travailler la boule de glucose que l’on a entre les deux épaules, appelé autrement un cerveau. Forcément, puisque tout cette technologie addictive n’existait pas, nos amis était fait de chairs et d’os, nos « followers » nous suivaient sur des brêles pétaradantes, et personne ne nous dictait pourquoi il ne fallait pas mettre la main au cul d’une fille sans lui avoir demandé la permission.
Pour nous, tout était jeux. Et ce temps passé coupé de cet internet chronophage et anthropophage nous rappel combien cette époque était belle, vivante, que les foules étaient des masses animées, et non plus une armée de zombies déambulant les yeux fixés sur un écran.
De même que pour nous le racisme n’était qu’un mot, une allégation proférée par quelques chialeuses islamo-sensibles. Et on osait des blagues qui feraient frémir de terreur les islamo-gauchistes d’aujourd’hui, parce que l’on savait rire de nous, de tous, les uns avec les autres.
De nos jours internetisés et lobotomisés, on ne peut plus commencer une blague par « c’est un arabe, un noir et un juif qui entrent dans un bar », car en une phrase on est passible de négrophobie, islamophobie, antisémitisme, pouvant nous envoyer devant un tribunal de la conscience dévoyée et en prison. Si l’un des trois est en plus homosexuel ou transgenre, on aggrave notre cas et les tribunaux médiatiques nous feront couper la tête.
Décidément, à bien y réfléchir pendant quatre jours, le monde d’aujourd’hui est d’une tristesse confondante tant il n’est plus permis de rire et de faire rire de nous et des autres, tous ensemble.
Cette coupure internet nous a permis de couper, justement, avec l’irréalité synthétique, la virtualité consciente cachant nos peurs et de nos angoisses pour nous ouvrir, rouvrir les portes de la réalité, de la beauté des étoiles la nuit, d’un lever de soleil dans la brume, de notre capacité de dépasser nos peurs par le rire et les sciences. Cela nous a permis de voir la pluie maculer les fenêtres froides, hors de tous écrans interposés, de toucher nos amis du doigt et non d’un clic. De rêver devant des photos qui rappel des souvenirs, et non de vivre par procuration les souvenirs des autres. De laisser la beauté de la nature prendre l’espace, la place de celle domestiquée, botoxée, plastifiée, d’êtres modulables et laids à la bouche de canard, au cul éléphantesque et aux seins prothèsés.
Et on regrette le temps où les femmes étaient belles tout simplement, avant l’enlaidissement du plastique et du botox, de la chirurgie « esthétique » qui transforme en caricature de Barbie fondue sur un radiateur, quand une touche de maquillage, même légère, suffisait à transformer un regard.
Voilà ce qui manque aujourd’hui, dans ce monde internetisé, virtuel, où il faut vivre en concordance avec la matrice woke et islamo-gauchiste. Quand il nous faut vivre dans un futur dystopique qui ne correspond en rien avec celui qui nous avait été promis. On nous a fait croire que le futur serait l’apogée de l’homo sapiens sapiens, alors qu’il n’est que le retour en arrière vers l’âge des cavernes, vers les heures sombres de la dictature nazi, vers la guerre et la misère, les maladies et les famines moyenâgeuses.
Et c’est nous, les Patriotes, les natios, les amoureux de la France, qui sommes jugés « rétrogrades » parce que l’on considère que la nature ne se trompe pas quand on nait garçon ou fille. Il n’existe pas, dans la nature, de transgenres. Sauf peut-être certaines espèces batraciennes qui change de sexe quand il n’y a pas assez de mâles. Parce que l’on considère que la France était belle et qu’elle doit le redevenir. Parce que les mots « Liberté », « Égalité », « Fraternité », s’adresse d'abord au peuple Français et non à tous les peuples d’Afrique ou d’Orient qui, par ailleurs, détestent la France à cause justement, de ses libertés.
Nous ne prônons pas un « retour en arrière » mais une reconstruction de la France sur les cendres de la France, et non sur celles de l’Afrique ou de l’Afghanistan.
Nous prônons un retour de la souveraineté de la France pour qu’elle puisse retrouver sa liberté de choisir ses propres lois, qui elle accueille ou non, comment elle doit vivre et exister, et non subir la dictature Woke d’une Europe décervelée, islamisée, et homoncule transgenre.
Nous prônons un retour de nos libertés d’opinions, de choix, de consciences, du rire et des caricatures, de la musique et de la joie, au contraire de ce monde aseptisé, morne, gris et triste voulue par les islamistes gauchistes.
Nous prônons le retour de la beauté naturelle, de la légèreté et de la liberté des femmes, au contraire de la soumission du voile islamiste de demain.
Nous prônons la France avant l’Europe, le peuple Français avant les autres peuples, sur son propre sol, la Liberté à la dictature, et le droit de se gratter les couilles quand ça nous démange dans le bus ou le métro, d’assumer son hétérosexualité, d’être « genré », de transmettre les valeurs de nos parents et de nos grands-parents, de transmettre notre Histoire, notre culture et nos valeurs, sans fard, avec le juste regard sur le passé dans ce qu’il y a eu de bon et de mauvais.
C’est notre Histoire, pourquoi en avoir honte ?
Pourquoi avoir honte de notre géographie quand dans les écoles d’aujourd’hui on apprend celle de l’Uruguay ou de la Colombie, au lieu de celle de la France ?
De toute façon, il est bien évident qu’un chantre du Wokisme élevé au communautarisme transatlantique n’allait certainement pas changer les choses, en mieux, pour faire pire que les autres. Et non, on n’a pas nommé le ministre de l’éducation.
Finalement, bien que l’on pourrait penser que cette coupure internet pourrait être une punition, elle n’en a été qu’une libération. On a regardé ailleurs qu’au travers d’un écran le monde qui nous entoure. On a senti le vent, la pluie, le froid nous mordre la peau en dehors des « filtres » et des émojis. On a senti la chaleur de la camaraderie par contact direct et non via une dématérialisation internet.
Et surtout, on a pu exprimer ses pensées, ses opinions, sans être contraint, sans être insulté, menacé par des pseudos et des incultes. Par ces braves lâches planqués derrière un clavier et un écran, déversant leurs haine de l’autre sur les réseaux asociaux. Car dans la réalité, on hésite à franchir la porte pour dénoncer le racisme d’un drapeau Français pavoisé. On préfère passer son chemin plutôt que de rester dans la rue pour gueuler contre la Marseillaise, au risque de se prendre une baffe, bien réelle elle aussi, qui fait bien mal dans ta tronche.
Qu’avons-nous donc à faire de ces amis virtuels et contre lesquels nous faisons un génocide tous les soirs en éteignant l’ordinateur ? Quelle importance peuvent-ils avoir s’il suffit d’appuyer sur un bouton pour ne plus les voir ? Que gagnons-nous à poser sur internet, à faire le guerrier templier de la mort qui tue au Walhalla ?
La vérité est que nous ne menons, ni ne gagnons aucun combat par internet interposé. On peut réunir, regrouper les bonnes personnes, mais ensuite il faut donner chair à cet amalgame de bits, de 1 et de 0, pour en faire une force militante. Une force qui se connait, qui se touche, qui est capable de s’affranchir du virtuel pour agir réellement.
Voilà peut-être ce qui manque, aujourd’hui : le réel. S’affranchir de cette virtualité dans laquelle on nous enferme pour voir, goûter, vivre, s’enflammer et toucher. S’affranchir des trompes l’œil qui masquent le sang qui coule dans nos rues. S’affranchir de l’internet qui déconstruit l’homme, dénie la science, ment et promulgue la « bonne » pensée unique.
La technologie nous aveugle, et pourtant les exemples et les avantages conférés par le refus de la technologie sont nombreux. Les vietnamiens l’avaient compris : au lieu des routes ils préféraient les sentiers, au lieu des camions ils se servaient de buffles, sans uniformes ils se cachaient à la vue de tous, communiquant par la voix ou des bouts de papiers, se transmettant ordres et consignes par le bouche à oreilles, ils ont tenu tête à la puissance technologique des américains.
Et à bien y regarder, les mêmes méthodes ont été appliquées lors de la traque d’al Qaeda, quand Ben Laden se cachait dans des grottes sans eau, sans électricité et sans internet. Réussissant même à déjouer des satellites à la pointe de la technologie.
Elles le sont encore quand les terroristes islamistes font attentats et meurtres de masse au couteau. Vont en Syrie faire le djihad ou s’entrainer à tuer des Français.
La technologie n’est utile que si l’adversaire se sert de la technologie lui aussi. Autrement, si l’un des deux sort de la technologie, il n’y a plus alors qu’un seul joueur sans adversaire. Et c’est celui qui déjouera le mieux cette étalage technologique, sans s’en servir, qui gagne la partie.
Alors plutôt que d’essayer d’obliger les autres à se fondre dans la technologie, adaptons-nous pour nous passer de la technologie.
On y gagnera en humanité, plutôt que d’agir comme des robots aux cerveaux préformatés, évoluant dans un monde virtuel conçu pour nous plaire, en nous cachant la réalité.
Buck Et Le Chat
Fan de Matrix et on t'emmerde
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