![](https://static.wixstatic.com/media/b212c3_8a3c385cf4534ef6b4cc65c5f5a2d909~mv2.jpg/v1/fill/w_885,h_500,al_c,q_85,enc_avif,quality_auto/b212c3_8a3c385cf4534ef6b4cc65c5f5a2d909~mv2.jpg)
Aymeric Caron, machin bidule de gauche et soi-disant écolo, tiens à son projet de loi d’interdiction de la corrida et fait feu de tout bois pour faire interdire cette pratique culturelle ancestrale.
A dire tout de suite, et honnêtement, on n’a jamais assisté à une corrida, Le Chat ou moi. Donc, on se refuse à émettre un jugement quel qu’il soit préférant mettre en avant la culture et les traditions de nos régions Françaises, tout en n’étant pas insensibles à certaines causes animales.
Mais pour nous, le véritable problème est le fond de ce même problème, c’est cette volonté affichée, affirmée et réaffirmée de détruire toutes les traditions Françaises, de la crèche de Noël au spectacle de la tauromachie, en passant par le Tour de France ou les présentations de la Patrouille de France.
Et bientôt quoi ? Interdire la bourrée Auvergnate au feu de la Saint Jean ?
Mais on n’arrivera pas au bout de notre propos si tu hurle déjà à l’immense douleur de la bête, et à son sentiment d’injustice de finir en steak au restaurant du coin. Ce qui, soi-dit en passant, est le lieu commun de toutes les vaches, veaux et taureaux qui font ta joie, en grillade sur le barbecue.
Alors, ta gueule.
N’étant ni psychiatres pour taureau, ni analystes du comportement animal et encore moins psychiques psychédéliques détectant les « aura » du taureau qui nous arrive en pleine gueule, D’ailleurs, à ce moment-là tu te fous bien plus de la couleur de l’aura du truc, qui pèse plus d’une demie tonne et déboule à près de 30km/h, que de battre le dernier record du 110mètres, on n’ira pas prétendre en savoir plus que le taureau sur sa douleur ou ses sentiments, ni même savoir s’il est doué, ou non, de raisonnement.
Mais on s’écarte (elle) de notre sujet.
Pour revenir à nos taureaux, on le redit pour ceux qui ne suivent pas, le plus important est la sauvegarde de nos traditions et de notre culture mise à mal quotidiennement par les islamo-gauchistes. Et ce sous un prétexte fallacieux de défense des animaux.
Fallacieux, car cet argument ne tient pas vraiment la route. Ce qui explique qu’on insiste sur la douleur de la bête. Car les taureaux et autres vachettes qui servent aux corridas ne sont pas n’importe qui non plus. On a fait des recherches.
On se couchera moins con ce soir.
Si on est curieux, comme nous, c’est fou ce que l’on apprend quand on n’y connait rien !
On va distinguer deux taureaux, le taureau de combat et le taureau de course. Le premier servant dans les arènes, l’autre dans les courses de taureaux (ou Corrida).
Le taureau de combat appartient au rameau Ibérique de la race. Il est inscrit au registre généalogique et descend pratiquement en ligne directe des Aurochs qui pullulaient en Espagne au quaternaire. D’un poids d’environ 500kg et d’une taille d’environ 140cm au garrot, il est généralement noir ou brun noir, mais il existe différentes teintes, toutes sombres.
Cette race est élevée spécifiquement pour sa combativité ainsi que la production de viande et de cuir. Élevés en système extensif et en plein air intégrale, il n’est jamais en contact avec des hommes « à pied » puisque seuls ceux qui sont à cheval, ou motorisés, peuvent et on le droit de s’en approcher.
C’est la race la plus pure d’Espagne, et pour s’en assurer les éleveurs ne possèdent que des individus « pure race » inscrit au registre généalogique établi pour chaque race fondatrice qui sont au nombre de 36-37 seulement.
Les jeux taurins et le culte du taureau ont eues une grande importance dans l’antiquité et sur tout le bassin méditerranéen. Malgré tout, on ignore si la pratique actuelle de la Tauromachie prend sa source à l’époque romaine, puisque son développement à été exclusif à l’Espagne. Certaines traces faisant mention de courses taurines en l’an 815, il faut attendre le XIIIème siècle pour en savoir davantage sur les combats.
En parallèle, des légendes laissent penser que la tradition tauromachique était déjà bien implantée dans les contrées les plus reculés de la péninsule Ibérique.
On retrouve des traces de cette pratique au XIème et XIIème siècle, et même sous Charles Quint.
En 1836, un certain Francisco Montes rédige « La tauromachie ou l’art de toréer dans les plazas à pied comme à cheval », et organise le spectacle et son premier règlement officiel sera promulgué en 1852.
Les premières Corrida parviennent en France avec l’arrivée de l’impératrice Eugénie, d’origine Espagnole, à partir des années 1852-53 et qui va se développer jusqu’à l’implantation d’arènes à Paris à l’occasion de l’exposition universelle de 1889.
En 2011, la tauromachie est inscrite au patrimoine culturel immatériel de la France, pour en être radiée le 27 juillet 2016, malgré le soutien de 39 personnalité du monde du spectacle et des arts.
Dans les anti-corridas on a cherché le nom de Caron. Sans succès. Trop jeune alors peut-être ?
Toujours est-il que le taureau, contrairement aux idées reçues, n’est pas toujours mis à mort et certains servent à faire vivre l’arbre généalogique en perpétrant la lignée des taureaux de combats (et donc de l’Auroch) suivant le règlement de l’union des villes taurines Françaises qui accorde faveur, sous certaines conditions bien définies, à l’indulto (le gracié).
Le toréador risque réellement sa vie dans l’arène (plus de soixante mort), ou vis avec des séquelles importantes suites à des blessures infligés par un taureau, sans compter parmi les victimes les membres des cuadrillas.
Après tout cela, on ne pourra qu’avoir l’esprit chagrin avec un « détail » qui à malgré tout son importance : l’économie autour des spectacles taurins.
Car outre la préservation d’une race bovine ancestrale, la corrida fait vivre des régions, et des personnes. Sans cela, combien de picadores, de banderillos, monosabios, areneros, arastre, vétérinaires, éleveurs, bouchers, guides touristiques et on ne sait quoi encore, vont se retrouver au chômage ?
Car si l’on pense au taureau comme à un être sensible, peut-on donc être insensible face au désastre financiers que représenterait cette interdiction, à la détresse de tous ces, pourtant, écologistes, proches de l’animal, proches de la nature ?
Mr Caron sous le pseudo prétexte de défense de la cause animale préfère faire souffrir des milliers, des centaines de milliers de personnes touchant de près ou de loin à la corrida.
Il préfère, au nom d’une écologie absurde, faire abolir une pratique écologique et de sauvegarde d’une race ancienne et pure.
Il préfère voir, là où paissent les troupeaux sauvages, des HLM, des cités et des centres de vacances pour migrants au lieu des marécages et des étendues sauvages.
Pour ce que l’on en pense, Caron ne défend rien : il détruit.
Il veut, à l’instar de ces copines écolos, déconstruire, araser la France de toutes ces traditions, de toutes ses cultures pour en faire une terre à islamiser. Car jamais, au grand jamais, Mr Caron prend la parole pour faire interdire l’abattage hallal cruel et les pratiques barbares de l’islamisme.
Qu’il commence donc par faire interdire cela, au lieu de faire le dégouté devant un bon steak.
Mais nous, encore, on défend la tradition, la culture, bien ancrée en France. Et nous sommes prêt, si on repousse cette interdiction des corridas, à faire des compromis.
Comme on nous a souvent répété qu’on ne proposait pas de solution, en voilà une, de proposition
A la place du taureau, on pourrait mettre un fiché S. Avec une généalogie irréfutable d’andouille, fils d’andouilles et arrière-petit-fils de rillettes.
Quel spectacle ce serait ! Imaginez les arènes pleines de monde attendant dans l’angoisse l’entrée sauvage du Djihadiste qui souffle dans sa barbe, rue et se cabre. Tourne et fonce dans toutes les directions, excités par le bruit de la foule qui crie « Olé ! ». L’arrivée majestueuse du toréador dans son costumes de lumières avec le blason de la Police Nationale sur l’épaule. Sa cape faite de demandes d’asiles et d’allocs trainant par terre.
On retiendrait notre souffle dans le premier face à face de l’homme à la bête, se jaugeant du regard, avant la charge frénétique du radicalisé qui, après avoir gratté le sol 3 fois de son pied plat, s’élance contre le bouclier anti-émeute.
On tremblerait d’admiration pour le courage de la bête qui refuse de se servir de sa ceinture d’explosif, dont on a quand même retiré les piles par précautions, chargeant encore et encore la muléta, frôlant le toréador qui fait des entrechats gracieux.
Essoufflé, le djihadiste prendrait enfin le temps de reprendre son souffle en tournant autour de l’arène pendant que toréador s’équipe des banderilles. D’une charge dantesque, le barbu fonce, djellaba au vent, la barbe plaqué contre le torse, ou dans les yeux, en labourant le sol de ses babouches Tati. Le toréador l’esquive et d’un geste gracile plante la banderille de l’OQTF dans le dos du radicalisé. Piqué dans le gras, elle semble vouloir tomber sans accrocher, mais il est bien fiché.
Au fur et à mesure des passes, les banderilles s’accumulent : OQTF, interdiction du territoire Français, défaut de papiers, communautarisme, radicalisation… C’est un spectacle époustouflant de voir la bête sanguinolente chargé encore et encore.
Puis vient le moment où l’animal essoufflé toise son adversaire, l’œil torve, la morve dans la barbe et l’abaya pleine de sang rassemble ses forces. C’est la confrontation du maintenant ou jamais. Il ne lui reste plus que la carte du faux jeton et de l’Océan Viking dans sa manche.
Alors que le toréador reçoit les acclamations de la foule et lui tourne le dos, il charge traitreusement armer d’un couteau en mugissant « allah akbar ». Le toréador l’esquive et récupère la mutiletta, c’est l’heure du coup de grâce fatidique : l’expulsion ou la mort.
Le moment est grave, le silence assourdissant, l’angoisse est palpable. Tout le publique retient son souffle lorsque le toréador se place tranquillement à quelques mètres seulement du monstre qui le regarde, la tête baissée.
D’un seul coup, le djihadiste se rue sur son adversaire qui lui plante implacablement une expulsion sous 48 heures dans le cul sous les vivats de la foule en délire.
Comme la tradition l’exige, le toréador recevra les deux oreilles et la queue qu’il fera embaumer en souvenir. Le barbu sera trainé hors de l’arène vers le premier avion en partance, et l’arène résonnera encore longtemps du bruit avant de se fondre dans le silence de la nuit.
La sauvegarde de nos traditions nous permettra de changer à mesure du temps qui passe. Les interdire, c’est laisser périr de désespoirs un peuple.
Sauvegardons nos traditions et nos cultures : adaptons-nous !
Buck Et Le Chat
Chasse, pêche et Traditions.
Comments