Les « bleus » ont gagnés face au Maroc hier soir. C’est bien. On s’en branle l’une sans faire bouger l’autre. Car qu’est-ce que cela va réellement changer dans notre vie de tous les jours, une vie de tous les dangers ? Rien.
Oh, bien sûr on nous dira que c’est formidable une victoire de l’équipe de France. Sauf que l’équipe de France n’en a plus que le nom, quand il n’y a plus un seul joueur Français dans l’équipe nationale.
On a regardé, comme ça, les autres équipes. L’équipe du Maroc composée de Marocains, celle du Japon de japonais, celle d’Italie d’italiens, celle du brésil de brésilien, etc., etc. L’équipe de France est la seule à composante exclusivement Africaine et nord-africaine. A croire que les Français ne savent pas jouer au foot. Il est vrai qu’on est bien meilleur au rugby, avec des équipes bien Françaises par contre, là.
Cela soulève des questions et des interrogations, quand même. Et interpelle du peu de publicité autour des joueurs de rugby quand, au contraire, les footballeurs font souvent les manchettes des journaux. Il est vrai aussi qu’à part poser à poil pour des calendriers, nos rugbymans ont perdu un peu de leurs virilités au passage.
Il n’en reste qu’il n’y a que le foot, et la pseudo « fête » du foot, qui fasse autant de dégâts dans les centres-villes. Les supporters, ou bande d’abrutis, au choix, fêtant la fin du match à coups de cassages, de pillages et d’affrontements avec la police.
Toujours est-il qu’on s’attendait forcément à ce qu’il y ai des problèmes après le match France-Maroc et un triste bilan avec un mort. Une saloperie d’immigré, mais bon, on ne peut se réjouir de la mort d’un gosse de 14 ans, qui n’avait rien à foutre dans la rue à arracher les drapeaux Français.
Les joies de la fête du foot, surement. On se demande ce qu’en pense la famille, de la fête du foot. La question restant de savoir comment réagirait-on face à un encerclement de racailles, autrement qu’en fonçant dans le tas.
On reste surpris que les ministres et autres députés gauchistes ne soient pas émue de voir autant de drapeau tricolore brandi par des racistes et des fascistes dans la rue. Que l’on n’en soit pas plus émue, voire moins même, que lorsque les drapeaux marocains, algériens, turc, tunisiens sont brandis par des racailles hystériques. Allant jusqu’à escalader les frontons de nos mairies pour y faire pavoiser le drapeau de leurs pays d’origine en lieu et place du drapeau national, quand ce ne sont pas les maires eux-mêmes, gauchistes jusqu’aux orteils, qui affichent leurs traitres complaisances.
On se pose quand la question qui fâche : qu’en serait-il si l’équipe de France était composée de blancs, de Marcel, Rocheteau, Platini, Pierre et autres Jean ? Assisterait-on donc à de pareils scènes de liesses ? On en doute.
On en doute et on en veut pour preuve les victoires de l’équipe de rugby qui ne génère pas la même liesse. Il est vrai que l’on cherche encore les équipes de rugby du Maroc, de l’Algérie et autres pays Africains, ou musulmans. Trop violent peut-être pour eux ? Trop viril ?
Il n’en reste que la « fête » du foot n’en est plus une depuis longtemps, et on ne tient plus le compte des voitures brûlées, des vitrines saccagées, des affrontements avec la police, des blessés et des morts.
Serait-on donc de mauvaise foi quand on nous sermonne en disant que la fête est belle ? Quelle beauté dans les rues dévastées ? Quelle fête, sinon celle de la violence et de la rapine ? On devrait aller faire la fête, nous aussi chez la racaille, leurs taper dessus, mettre le feu à leurs points de deals, caillasser leurs fenêtres et faire bruler les scooters volés et les bagnoles achetés avec l’argent de la drogue et de la CAF.
Mais on nous répondra « racisme », « ratonade » et autres gentillesses si l’on faisait cela. Mais eux le font, pourquoi donc devrions-nous nous en priver ?
Alors, foin de « fête » du foot, nous, on a plus le blues des années vraiment joyeuses, où la fête du foot était réellement une fête. Et non une excuse à n’importe quoi.
Buck Et Le Chat
Anti-foot
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