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Nous vivons une époque de violences, de haines, de suspicions et de méfiances des uns et des autres. Chacun voit en son voisin l’ennemi potentiel qu’il faudra combattre, à cause de sa couleur, de sa religion, de sa couleur politique, de ce qu’il possède ou non.
Les islamo-gauchistes Woke n’y sont pas étrangers, c’est même les principaux artisans de cette époque de violences et de méfiances tant ils tiennent à séparer les Français les uns des autres. A la tentation de reformer un peuple, ils crient au racisme et au fascisme. Indécrottables idiots malveillants et mauvais. L’étendard sous lequel peut se retrouver, s’unir, redevenir un peuple, une Nation, est devenu la svastika haïe alors qu’il suffit de brandir un drapeau palestinien, marocain, turque, algérien ou d’autres contrée rongées par la vermine islamiste pour aussitôt faire partie de la bienpensance.
Pour eux, « guerre » signifie « paix », « dictature » signifie « liberté » et « haine », pour « amour ».
Décidément, la novlangue Orwellienne n’est plus une fiction : c’est la réalité dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Mais devons-nous nous agenouiller devant ces nouveau maîtres à penser, de travers, ou bien nous rebeller, entrer dans la résistance en refusant de plier nos consciences et notre liberté devant la dictature de la pensée ?
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : un lavage de cerveau mondial orchestré par le Wokisme et la bienpensance où nous devons nous détester de n’être pas pédés ou gouines, noirs au lieu de blancs, musulmans au lieu de chrétiens, un pissenlit et non un humain genré.
On doit suivre les diktats, les directives du bureau centrale qui nous dit qui aider, qui aimer, qui défendre et à qui faire la guerre. Et on écarte les doutes d’un geste de la main, du tampon « fasciste », en vous désignant comme « haineux » puisque contre la Vérité que l’on vous désigne.
Devons-nous, alors, devenir ces humains fabriqués à la chaine, à la pensée unique, sans rêves, sans espoirs, sans volontés et surtout se féliciter d’être promis à l’abattage rituel pour les défectueux et les anti-robots.
Nous, qui sommes accusés de vouloir faire revenir un âge des ténèbres, sommes sous l’oppression de ceux qui se désigne comme ennemi de l’oppression. Ce double langage n’est pas sans rappeler un petit homme signant des traités de paix de la main droite et la guerre totale de la gauche. L’Histoire est notre vérité : elle est incontournable. « Nous sommes vos amis ! », proclament-ils, mais le bras de la répression n’est jamais loin si l’on ose dire que l’on pense autrement.
Aujourd’hui, ce qui devait nous protéger nous menace, préférant des peuples qui n’en sont plus à celui qui existe, préférant nous cataloguer selon notre couleur, notre religion, nos tendances sexuelles, et non plus nous réunir sous une seule désignation : le peuple, la nation. Nous devons devenir les « citoyens » d’une utopie européenne, les morceaux d’individus comptabilisés, rangés comme les étoiles du businessman sur son astéroïde.
Nous devons être possédé, enfermé dans les carcans de la dictature de la pensée qui interdit les rêves, et ne plus avoir d’espoirs, ne plus être qui nous sommes, mais les sommes d’un grand rien. Nous, nous ne voulons que sauvegarder notre humanité, nos consciences, nos libertés de penser, de vivre, d’aimer et de détester qui on le souhaite. On veut être libre de dire, de crier et de hurler la Vérité, la Réalité qui dénonce cet autocratisme Woke.
Nous refusons d’être enchaîné à la lie du monde, nous refusons d’être des objets téléguidés vendus sur catalogue, nous refusons d’appartenir à autre chose que ce vers quoi nos cœurs nous guident naturellement : la France, et le peuple Français.
Et quelques soient les mots que l’on utilisera pour nous désigner, pour nous refuser notre statut d’être libres, pour contester notre droit de penser autrement et notre liberté d’expression, il n’en restera pas moins que nous appartenons à la France et à sa nation, d’abord et avant tout.
Et ceux qui veulent nous détruire, détruire le genre humain, peuvent bien nous désigner à la vindicte, nous ne mourrons pas, nous ne nous éteindrons pas parce que la liberté fait, et fera toujours, rêver.
Buck Et Le Chat
Libres penseurs et résistants rêveurs
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