Ou comment dire ce qu'on pense, comme on le veut, en se foutant des "oui mais". Et en arguant pour l'expulsion, l'immigration choisie, et la peine de mort.
Un petit tour et puis s’en va
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On ne prétendra pas faire la morale, ni donner leçon, ni même encore prétendre à un « partage » de la douleur ou encore « comprendre » la douleur des parents de Lola.
Bien sûr, nous aussi nous sommes en colère, et c’est ce qui prime sur tout le reste. La colère devant l’infatué des pseudos idéologues en herbe, qui nous expliquent doctement que c’est du racisme envers les OQTF que d’exiger leur départ.
Évidemment on est un peu triste aussi. Mais à parler franchement, on va pas se rouler par terre en s’arrachant les (rare) cheveux non plus.
La mort d’un enfant est toujours triste, incompréhensible, douloureuse même pour tout les parents qui, à l’évocation de cette horreur serrent leurs enfants contre eux, bienheureux, malgré tout, que ce soit arrivé à d’autres.
On disait, dans notre livre, qu’à chaque mort d’un ange, c’est une partie de l’humanité qui meurt. Aujourd’hui, plus qu’hier, à voir tout le cirque politico-médiatique, on était bien en dessous de la vérité.
Mais voilà, après les panneaux et les « post » larmoyants sur les réseaux sociaux, une fois mise en terre, une fois définitivement disparue, on passera à autre chose, on aura d’autres chats à fouetter, on se reprendra les hurlements hystériques contre le racisme envers les nord-africains illégaux, les radicalisés et toute l’engeance issue de l’immigration incontrôlé, jusqu’à un nouveau drame.
Ce sera alors un autre prénom pour lequel on versera des larmes de crocodile, un autre visage que l’on placardera partout, parce que l’on aura déjà oublié le prénom d’un ange.
Qui se rappelle des prénoms des enfants juifs assassinés par Mohamed Merah ? Qui se rappelle ceux des enfants écrasés à Nice, pulvérisés dans les divers attentats ? Qui est Ylan ?
Personne. Et Lola sera un prénom de plus que l’on oubliera une fois qu’il n’y aura plus rien à dire, en pensant que les parents de cette fillette, comme tous les autres parents des victimes de l’horreur, oublieront eux aussi cette douleur qu’on n’ose même pas imaginer. Qu’il nous est impossible à imaginer.
Avec Le Chat, on regarde tout ce déballage médiatique et sur les réseaux « sociaux », en attendant dégoûtés que Lola ait fait son petit tour avant de s’en aller dans les oubliettes de la bienpensance, de sombrer dans l’oubli collectif après l’indignation collective.
Lola, comme tant d’autres avant elle, aura fait son petit tour et puis s’en va, transformée en poupée, en marionnette pour servir les objectifs ineptes de « followers », les envolées lyrique de la bienpensance islamo-gauchiste, les réparties « bien senties » entre politiques, et les scores d’audience.
On oublie déjà la douleur des parents quand on fait décrire l’horreur, l’indicible, aux heures de grandes écoutes, en se drapant de l’information, pour croire commencer à comprendre l’acte qui dépasse toute logique, le recto de l’humanité. Voire même le rectum.
L’acte en lui-même ne révèle rien d’autre que l’absence d’humanité. Et à cela, il n’y a qu’une seule réponse : perdre la nôtre, le temps de punir définitivement cette absence de conscience humaine.
Si on abat la bête sauvage qui tue, de pleins droits, on devrait pouvoir abattre ce qui est pire qu’une bête sauvage : un rebut de l’humanité.
Ce n’est pas être « raciste », ni même « fasciste », de réclamer la loi du Talion. C’est justement démontrer qu’à l’horreur, il ne sera répondu que la justice divine. Car ce n’est pas à nous de juger, mais aux dieux, s’ils existent. Nous, on doit être juste les intermédiaires, pour envoyer au jugement divin les monstres.
Un petit tour et puis s’en va, et Lola rejoindra les autres victimes dans l’oubli. On reprendra bientôt nos routines idiotes, on s’insurgera pour autres choses, jusqu’au meurtre ignoble d’un autre enfant par un autre multirécidiviste, illégale, avec 48 OQTF non exécutées au cul, protégé et encouragé par les islamo-gauchistes et les bienpensants imbéciles, et un gouvernement de pleutres qui n’osent pas faire front, faire face à leurs responsabilités.
La mort nous enseigne quelque chose sur nous-même. La mort d’un enfant nous révèle l’effondrement de cette société qui dénie courir à sa perte. Qu’avons-nous donc appris de la mort de cette enfant ? Rien.
Et c’est bien là le problème. Les crétins gauchistes continueront demain à faire de la propagande pro-immigration, protégeront les OQTF et les criminelles africain et nord-africain, crieront au scandale et accuseront les patriotes et ceux qui défendent la vie et la mémoire des victimes de « fascisme », de « racisme » et même de « patriarcat » si on ose en parler autour d’un barbecue.
La lutte LGBTROQ+/- multiple reprendra de plus belle, le racisme sera dénoncé, les prix de la vie continueront d’augmenter, les guerres referont de l’audience, et même la révolte des femmes contre le voile islamique reviendra sur le devant de la scène.
Et les parents de Lola retomberont dans l’oubli, pourront enfin faire leur deuil sans qu’il leur soit volé par les uns ou les autres, jusqu’au procès de l’immigrée qui devait être expulsée, mais ne quittera jamais le sol de France.
C’est trop facile. C’est bien pratique. Car on fait comprendre aux autres qu’il suffit de commettre crimes et délits pour ne pas être expulsable. Et surtout, on tait ces mêmes expulsions, faites discrètement, honteusement, loin des caméras, et au goutte à goutte pour ne pas réveiller les ignares gauchistes. Les mêmes qui s’étranglaient d’indignation à la vue des « charters » passés.
Expulsions et peines capitales, voilà qui freinerait bien des ardeurs. Mettre une immigration choisie, à la place de cette folie, en exigeant d’avoir revenus et ressources pour s’ auto-suffire pendant 5ans, diplômes et langue Française obligatoire, apprentissage des mœurs et cultures Françaises, de l’Histoire de France, obligatoire pour recevoir la nationalité, temporaire, Française.
Expulsion dans les 24 heures suivant les délits, peine capitale pour les meurtres et expulsions à la fin du temps de prison pour les autres.
Le principe est simple à appliquer, et à mettre en place. Les centres de rétention doivent justement servir de « jauges » : un centre plein, arrêt de l’immigration. Ils doivent aussi être le point de passage obligé où on contrôlera les connaissances du demandeur en matière de lois Françaises, de la culture et des traditions.
En faisant signer un contrat d’intégration permettant à l’immigré qui veut s’intégrer de toucher un minimum de droits, au bout de 5 ans sans le moindre délits, et en comptant les infractions routières.
Les laisser-passer consulaires ? Chaque prétendant à l’immigration devra arriver en France avec son laisser-passer préparer à l’avance. Et dans le cas contraire, sanctions économiques, remboursement des dettes, suppressions de visas, et tant d’autres outils à dispositions que l’on utilise pas actuellement.
Être, ou naître, sur le sol de France ne doit plus être un droit de fait. C’est un droit qui doit se mériter, et l’étranger restera un étranger avec des droits justement régler par sa participation à l’économie du pays. On travail : on a droit au chômage. Plus de 5ans de chômage ? Expulsion.
Fini les prébendes distribuées largement : CAF réservé en priorité à la nationalité Française, CMU justifiant d’avoir travaillé et de prouver une intégration. Chômage, on l’a déjà dit. Droit de vote ? Il faudra justifier de 10ans de présence sur le sol Français sans aucunes infractions.
Commençons par rendre aux Français leurs droits pleins et entiers, et aux immigrés le juste nécessaire. En commençant par arrêter l’injustice de la polygamie permissive qui permet à un immigré d’avoir 8 femmes et de toucher les aides de la CAF pour 7 femmes « célibataires ». La polygamie est interdite en France. Polygame et on veut le rester ? Expulsion. Le mineur qui commet crimes ou délits et autres infractions ? Expulsion de toute la famille et suppression de tous les droits acquis.
Et pour répondre à l’inévitable question : suppression des droits, jusqu’à la sécurité sociale, pour les « Français ».
Dites NON à la complaisance, mais OUI aux droits du choix du peuple Français, de qui vient et qui ne vient pas sur son sol.
Retour du service militaire, nettoyage des citées, droits de tirer à vue à la moindre menace de l’intégrité physique pour les Forces de l’Ordre, pour rendre à la démocratie son visage de bienveillance été de sécurité, il faudra bien passer par la case « autoritarisme ». Serrons les boulons et ensuite, seulement, on pourra faire le tri des patates.
Le légat Arnaud Amaury l’avait dit : « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens. », on en viendra pas à cette extrémité, bien que ce soit tentant, mais on détournera la phrase en : « Virez-les tous, on fera le tri ensuite ».
Et pour faciliter le travail de la Police, on pourrait même en faire un jeu en réalité augmenté : Pokémuzz. Expulsez-les tous !
Buck Et Le Chat
Poké abuse
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