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Une fois de plus les écolos montent au créneau pour, à l’en croire, sauver l’humanité du désastre écologique imminent. Imminent, car dans quelques jours, et qui sait, quelques mois peut-être, la planète va s’effondrer, les écosystèmes font s’écrouler, le climat va devenir tellement instable qu’il neigera au mois de juillet, et que la nourriture va venir à manquer.
Qui est donc responsable de ce nouvel épisode du film « 2012 », ou tout s’effondrait simultanément ?
Vous, nous, les voitures, les centrales atomiques, les centrales à charbon, McDo, Internet, le poulet Loué, les barbecues, les avions, les bateaux (à voile), Van Gogh, les vaccins… Bref, tout ce qui ne plait pas à une jeunesse perdue qui court désespérément après une cause à défendre, sans même savoir de quoi on parle.
Les plaidoyers larmoyants sur le manque de nourriture à venir, qui est censé tuer mémé avant sa belle mort, la déforestation et l’éco-responsabilité, manquent tout de même d’une chose essentielle : de l’intelligence, est même pas artificielle.
Car, à entendre hier soir deux incongrus, pseudos écolos, n’avoir absolument aucuns arguments pour défendre leurs positions, aucuns arguments censés, on entend la rengaine de « demain on va tous mourir », sans autre fait appuyant la thèse que le nian-nian, rebâché à tour de bras.
Les écolos d’aujourd’hui veulent être les nouveaux Cassandre, projetant le spectre d’un avenir possible et catastrophique.
Seulement voilà, il y a un « hic », et pas des moindres, car la nature et la façon dont elle travail, surtout le climat, est loin de vouloir se soumettre à la volonté catastrophiste des écolos.
Pour qu’un impact influe sur le climat, il doit dépasser, quand même, les 1% démissions de gaz à effets de serre. Vu que la France ne dépasse pas ces fameux 1%, on se demande ce que l’on peut bien faire de plus, car même le crottin de cheval, ou les pets de vaches, sont responsables d’émissions de ces gaz.
Comme quoi, non, nous ne sommes pas d’épouvantables pollueurs qui allons faire s’écrouler le climat dans 8 jours.
D’ailleurs, encore une fois, on ne tient pas compte du facteur « temps », et c’est bien dommage.
On le sait, avec Le Chat, on aime bien lire, notamment tout ce qui touche à la science et autres classiques. Et nos lectures, assez bizarrement, pointent du doigt l’ineffable incompréhension des écolos de ce qu’ils sont censés, quand même, défendre.
Car tout tourne autour du temps qui passe, et des cycles naturels, de la nature justement. Et du vrai problème qui, une fois l’ordre naturel rétabli, ne sera plus qu’un souvenir vague.
La pollution, il est vrai, ajoute au « dérèglement » climatique, reste à savoir de quoi on parle exactement.
Car voilà, le « bien » peut se révéler pire que le « mal ».
Afin de clarifier notre propos, remontons les siècles au-delà de l’apparition de l’Homme sur la planète, le climat, entre autres, à toujours connu des cycles de stabilité et d’instabilités. Non à cause des avions ou des voitures, mais résultant de l’activité volcanique alors bien plus productive d’émissions de gaz à effets de serre, des incendies dû à la foudre, ou se déclarant spontanément, bien évidemment car encore une fois, c’était bien avant l’apparition de l’espèce « Homo », donc point de dinosaures « pompiers » pas plus que de pyromanes.
Mais quelques soient les déséquilibres induits, le climat à toujours sa propre logique, ces propres cycles, étalés sur des siècles, voire même des millénaires. Entre les périodes glaciaires, celles intermédiaires et les périodes « chaudes », notre climat change et évolue constamment en se foutant bien de ce qu’il se passe sur le sol.
Nous sommes actuellement dans une ère intermédiaire, en ce qui concerne le climat, et le temps en est changeant, naturellement. Mais voilà que l’homme à ajouté sa pincée de sel, oh, pas grand-chose au final, mais dont les conséquences se font sentir. 100ans, en moyenne, plus tard.
On parle des débuts de l’agriculture au Néolithique, de l’ère Romaine et de ses premières citées, de l’industrialisation de la fin du XIXème et du début du XXème siècle.
Car, de fait, les émissions de particules de carbone étaient bien plus massives qu’aujourd’hui : trains, usines, chauffage, cuisson, lumières, etc., soi autant d’émissions de gaz et de particules de carbone et de monoxyde de carbone.
De la déforestation pour répondre aux besoins d’agricultures, au besoin d’énergies, le charbon et le bois ont été utiliser de façon intensive. En comparaison, pour atteindre le même niveau de pollution d’alors, il faudrait que toutes les usines (enfin, celles qui restent) retournent au charbon et que l’on dérègle tous les diesels. Et même encore, rien ne dit qu’on atteindra, même de loin le même taux d’émissions de gaz.
Mais alors, quid du changement climatique auquel on assiste ?
Point besoin de montrer du doigt celui qui roule au diesel, moins polluant à l’usage et à la fabrication d’une « tout électrique », il faut se retourner vers les romains et les premiers agriculteurs, voire, vers l’industrialisation du début du XXème siècle et de la fin du XIXème.
Car voilà qu’intervient le facteur « temps », nécessaire à la compréhension du changement climatique.
On l’a dit, déjà le changement climatique naturel. Auquel est venu s’ajouter toute la pollution sur des siècles de l’utilisation du charbon et du bois de chauffage. Il a été prouvé, scientifiquement, que les répercussions sur le climat, lent à réagir, ne se faisaient sentir que plus d’un siècle plus tard.
Par conséquence, tout ce que l’on fait aujourd’hui contre la pollution, ne sera ressenti, à minima, que dans un siècle. Mémé, et même nos gosses, ont largement le temps de mourir d’autre chose et même de mort naturelle, même en tenant compte du cycle naturel.
Mais cela ne voudra pas dire non plus que les choses s’arrangeront. Au contraire.
Car la nature ayant horreur du vide, elle utilise aujourd’hui cette même odieuse pollution pour protéger la vie sur la surface de la planète. En comblant les trous de la couche d’ozone par la pollution, qui fait ainsi office de « bouclier » contre les UV et les radiations solaires.
Supprimez ce bouclier, et on aura plus de chance de mourir d’un cancer de la peau que d’un accident de voiture essence. Il est même prouvé que si la pollution disparaissait du jour au lendemain, le climat en serait si fortement perturbé que l’on assistera à des tempêtes et des sécheresses jamais encore connu de l’homme.
Mais vu le niveau de bêtise des « écolos », on est rassurés : on continuera à polluer quand même.
Alors, sommes-nous donc réellement dans une « urgence » climatique qui nécessite une action violente contre nous-mêmes, à la perspective du hausse de température inéluctable dans 5 ans ?
Cette même urgence climatique d’il y a 5ans déjà, voire d’il y a 10, 15, 20ans ? On repousse l’effroyable déstabilisation météorologique tout les 5ans, pour, comme sœur Anne, ne rien voir venir à l’horizon.
Commençons par stopper la folie du dernier ouille phone à 4000 balles, de l’ordinateur dernier modèle déjà dépassé avant d’être vendu, de la voiture électrique polluant les pays du tiers monde, des éoliennes en fibre de carbone non biodégradables avec batteries au plomb bio et acides polluants.
Que les écolos nous montrent par l’exemple comment nous pouvons « sauver la planète » en vivant de la cueillette de baies, en s’habillant des feuilles de platanes, en se déplaçant à pieds, la lance à la main pour chasser le lapin, ou le mammouth du jour, à déguster cru, car le feu est polluant.
L’espérance de vie d’un chasseur-cueilleur, à l’époque, de dépassait guère 35ans. L’homo sapiens d’aujourd’hui, avec les vaccins « tueurs », la médecine, les ambulances diesels, SOS médecins avec leurs bagnoles non écologiques, les téléphones livrés par paquebots super containers de 80000 tonnes qui bouffent 400 litres de mazout par heures, le GPS, internet et la télé Ikéa en véritable matériaux polluants, les colis Amazon, à une espérance de vie de plus de 80ans, voire centenaire.
Désolé, nous on préfère cet avenir à nos enfants, plutôt que celui de la chasse à la fraise des bois sauvage, ou le passe-temps principale sera l’épouillage en famille dans une caverne APL décorée de peintures rupestres, et le coït avec un arbre.
Chacun son truc, mais en attendant que les écolos nous fassent la preuve qu’on peut vivre tel que décrit plus haut, on va se contenter d’une espérance de vie plus longue dans une caverne tout confort, plutôt qu’un trou à rats.
Buck Et Le Chat
Ecolique dépendants (mais on se soigne)
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