Un père de famille agit pour le bien de sa fille de 6ans, agressée sexuellement, dans son propre domicile par un énième étranger « mineur » alors que celui-ci revenait en pleine nuit recommencer.
Doit -on condamner ce père, pour avoir protéger sa famille, pour avoir agi, alors que chacun, et chacune, d’entre nous, aurait fait la même chose, et même pire ?
Mais on doit faire le choix aujourd'hui de savoir quelle France, pour demain, voulons-nous ?
On appellera pas à se faire justice soi-même, mais il faut reconnaître que dans la situation actuelle, quand la justice est plus prompte à envoyer des policiers en prison tout en laissant des multirécidivistes courir en liberté après des TIG, tout est fait pour nous pousser à agir comme ce père.
Bien sûr, se faire justice soi-même, appliquer la loi du Talion, quand on est bien installé dans son canapé en sirotant une bière devant les infos, ce serait faire basculer une société déjà fragile dans l’anarchie.
Mais sur le coup, sans réfléchir, le premier mot qui nous vient à l’esprit est pourtant « le mec, je le bute ».
On nous bassine avec « l’état de droit », mais le droit n’existe plus quand il s’agit des étrangers illégaux sur notre sol. Le droit est aux abonnés absent quand il faut condamner un pseudo « mineur isolé » de 34ans, multirécidiviste avec 42 OQTF sur le dos.
Le droit condamne plus facilement un Français, ayant pris sa bagnole sans vignette « Crit’air » pour aller travailler.
L’état de droit ? Quel droit ? De quel État ?
Un de ces jours, un Marcel, ou Jean-Pierre, prendra son flingue pour buter les salauds qui brûle sa bagnole pour la 24ème fois, qui ont agressé sa femme ou sa fille parce qu’elles ne portent pas le voile islamique, qui pourrissent l’entrée de son immeuble. Ce jour-là, bien évidemment, la racaille elle voudra appliquer la loi du Talion. Qui les empêchera ? La loi ? L'état de droit ? Personne, et ils pendront haut et court au premier lampadaire Marcel, tout fiers et surtout sûrs de leurs impunités accordés par une justice sourde en plus d’être aveugle. Ce jour-là, le premier coup de feu sur les policiers venus pour tenter de sauver la victime, sonnera le glas de cet « état de droit » dont tous les bienpensants se drapent indignement.
On est plus proche du scénario du dernier livre d’Obertone que l’on veut bien le croire, ou le voir.
Le premier responsable n’est pas la justice en elle-même, c’est le gouvernement qui poursuit ses politiques indécentes. C’est le gouvernement qui édicte les lois ineptes et les fait passer à coups de 49.3.
C’est le gouvernement qui ne joue pas son rôle en protégeant la racaille et non plus les Français.
C’est le gouvernement qui laisse entrer toutes les poubelles du tiers monde, les rebus de l’humanité, les radicalisés et toute l’engeance Africaine, en France, et les laissent faire leurs lois, les imposants aux Français, sur le sol de France.
Le seul véritable responsable de l’effondrement de notre société et de ses valeurs, c’est le gouvernement qui laisse pourrir la situation jusqu’à l’explosion.
Et c’est nous, patriotes et Français, qui seront montrés, désignés coupables de cette situation, et non les véritables responsables.
La paix à fait son temps, c’est un fait. Elle a fait son temps et nous avons oublier de préparer la guerre qui va s’en suivre. Celle qui mijote à l’Est, attendant de se répandre à travers toute l’Europe, et celle, interne, qui pourri lentement notre civilisation.
Nous sommes dans une société violente, et on nous demande, à nous, les Français, les victimes, d’être « non-violents ».
L’idiotie de cette conception du droit doit s’arrêter tant que la justice ne retrouvera pas ses lettres de noblesse, tant que l’état fera faillite dans la protection des citoyens, tant que les agresseurs ne seront pas durement, et durablement, sanctionnés.
Le peuple Français est pacifique par nature, mais il ne faut pas prendre ce pacifisme pour de la faiblesse. Car, comme certains l’ont découvert à leurs dépens, bien avant Jules César et Hitler, et bien après, le peuple Français est patient jusqu’à un certain point.
Il y a une limite qui ne doit pas être franchie, et cette limite est piétinée inconsciemment, et allégrement, sans se douter qu’une fois franchie pour de bon, la colère Française ne pourra plus être ni contrôlée, ni stopable, avant d’avoir rétabli un ordre naturel qui lui convienne.
Car là est le risque dont nos gouvernants n’ont pas conscience : celui de la colère du peuple Français. Et pourtant, d’autres y ont laissés la tête, qui, s’étendant à chaque renoncement, brimades, interdictions, contraventions, impôts et taxes, le peuple clamera jusqu’à la potence un seul mot : Liberté !
Liberté d’être « genré « , liberté de rouler en diesel, liberté de mettre le chauffage à plus de 19°C, liberté de dire « non » à l’immigration incontrôlée, liberté de rire de Mahomet, de Dieu et de tous les apôtres, liberté d’être raciste, liberté…
Liberté chérie, Liberté que l’on rêve de retrouver, non le monde d’avant, mais pour construire le monde de demain loin des technocrates et des idéologues en culottes courtes.
Faudra-t-il, d’ailleurs, que les sans-culottes fassent la chasse aux bourgeois et à la noblesse jusque dans les chiottes pour les trainer à la même potence que l’engeance qu’ils ont soutenue, créés, imposés ?
Faudra-t-il une autre guerre des chouans gauchiasses pour qu’ils gardent leurs « main d’œuvre » bon marché ? Tellement bon marché, d’ailleurs, que cette manne migratoire n’est, et ne sera jamais, employable à quoi que ce soit.
5 millions de chômeurs, toutes cases confondues, de A jusqu’à Z, auxquels on ajoute 2 millions par an d’immigrés inemployables. Aucunes industries, bientôt plus aucuns agriculteurs dont l’Europe fait le génocide silencieux, ils veulent que le Français de demain soit inculte, analphabète, inemployable et écologiste !
Ils veulent que le français de demain soit un négro-musulmans d’origine Camerounaise issu de parents gays, avec une mère qui est son père, et son père sa mère. Sauf si c’est une chèvre ou un arbre.
Ils veulent faire de la France un bidonville du tiers monde, un dépotoir pour toute la merde Africaine et islamiste, et la belle France d’hier devenue un trou de chiottes bouchés.
Voilà le grand projet de Macron et de sa clique, sa « France de demain » : une fosse septique !
Quel beau projet pour l’avenir de nos enfants, n’est-ce pas ?
Et nous laissons faire, oh, à ce train-là, point encore longtemps. Mais il faut nous demander aujourd’hui si nous voulons un avenir de lisier pour nos enfants, ou un monde à reconstruire.
La question du pourquoi n'est plus a poser, mais de que faisons-nous et qu'allons-nous faire pour changer cet état de fait.
Buck Et Le Chat
Révolutionnaires modèles "bière et chips" devant la télé.
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