Nous, les factieux

De fait, nous le sommes car nous sommes en rupture avec l’idéologie bisounours d’aujourd’hui, la lâcheté et la complaisance face à l’immigration, au radicalisme et au communautarisme. Nous sommes en rupture avec ces « politiques » qui consistent à laisser faire, ne pas agir ou bien alors en faisant le moindre mal à la racaille, aux dealers, aux islamistes et on passe, et pas des meilleurs.

Contre l’agressivité des dealers dans les halls d’immeuble qui mettent le feu pour chasser les locataires, les émeutes et la guerre civile, le gouvernement propose des bisous sur le genou qui fait mal et met des pansements sur les jambes de bois.

Par contre, quand il s’agit d’interdire aux Français la liberté d’expression, d’opinion et de religion, on n’hésite pas à donner de la schlague dans la gueule, des hausses de prix de l’énergie en veux-tu en voilà, des taxes et de la prison si on a en plus l’audace de dénoncer la réalité.

Et cette réalité est que le patriotisme de nos grands-parents est aujourd’hui interdit. Passible de prison, d’amendes et de sanctions diverses pour avoir dit « bougnoule » tandis que l’on caresse dans le sens du poil les islamistes qui vous disent « sale Français ! ».

Paris, la ville lumière n’est plus, depuis Hidalgo, qu’un dépotoir à ciel ouvert ou grouillent cafards, rats et immigrés radicalisés. Les camps de sauvages se succèdent et sont déplacés au gré des humeurs sans jamais véritablement de solutions, et il en est de même pour les camps de drogués que l’on place sur les trajets des écoles, et les camping de putes à la vue de tous.

On dénonce, on dénonce, mais on a aussi les solutions ! Car en tant que « factieux », si on est en rupture, c’est parce que l’on a des réponses fermes, définitives et pérennes à opposer. Mais cela, bien sûr, va contre la nature des islamo-gauchistes Woke pédophiles. Alors on nous pointe d’un doigt tremblant de peur et de haine et on crache sa bave en dénonçant la réalité sous les termes de « fascistes », « d’extrême droite » et autres quolibets aussi ineptes que des non-sens.

Il est quand même amusant, un peu, de voir les véritables fascistes prétendre nous donner des leçons de morale, à nous qui ne sommes que Patriotes. Ils prétendent donner à la France un beau visage. Nous on n’y voit que la laideur d’une invasion migratoire, la libanisation de nos villes, l’Afghanisation de nos citées et la destruction de notre culture.

Nous sommes d’horribles racistes xénophobes homophobes quand nous ne donnons à la France qu’un seul visage, qu’une seule Nation, qu’un seul peuple. Un peuple au-delà des différences de couleurs, d’origines ou de préférences sexuelles qui s’unit pour donner à la France, lui redonner, sa beauté d’antan.

Alors oui, on est contre le communautarisme qui séparent les Français. Oui, on est contre l’invasion migratoire. Oui, on est contre la destruction de notre culture. Oui, on est contre l’islamisation de la France. Oui, on est contre l’anéantissement de notre Histoire.

Sommes toutes, que fait-on donc de mal ?

Car est-ce alors devenu un mal de vouloir rendre à la France son éclat, sa beauté, son Peuple ? Est-ce un mal de rejeter les envahisseurs qui n’amènent, pour la plupart d’entre eux, que désolation, violences et cultures d’ailleurs ?

Est-ce donc si terrible d’aimer la France et de vouloir la défendre, la protéger, contre les ennemis intérieurs et extérieurs ?

Nous, on fait la différence entre un musulman intégré et un radicalisé séparatiste. On fait la différence entre un migrant qui vient s’assimiler pour l’amour de la France et celui qui ne vient que pour profiter des largesses des aides. On fait la différence entre les racailles et ceux qui veulent vraiment s’en sortir.

Pour bien faire les choses dans l’ordre, il faut de toute évidence, et en toute logique, séparer le bon grain de l’ivraie.

Mais pour cela il faut du courage, de la volonté et une poigne de fer dans un gant de velours. Il faut le courage de dire la réalité, de la prendre à pleine mains et sauter à pieds joints dans la merde. Il faut le courage de ne plus être « électoraliste » pour être honnête. Les Français, le peuple Français, mérite mieux que langue de bois qui sonne comme un clap de fin. Il mérite plus d’honnêteté, de franc parler, de discours bref mais réaliste aux logorrhées égocentriques de quelques menteurs qui flattent les bébés d’une main et volent le biberon de l’autre.

Oui c’est moche. Oui c’est contraire aux idéologues qui se croient dans le monde de Candy ou des licornes roses. Oui les mots peuvent être terribles et pourtant, ils doivent être dits et entendus. Et s’il faut parler crûment, disons donc la réalité : il faut savoir jouer du bâton et savoir cajoler quand il le faut.

Remettons les choses à leurs places. Et que chacun nettoie devant sa porte avant d’aller chercher des puces chez les autres. Les écologistes doivent se remettre à l’écologie et non plus se mêler d’immigration. Ils ont à faire, et en premier remettre leur cerveau à l’endroit. La gauche doit reprendre la lutte pour les droits des travailleurs, et non les droits des étrangers en situation irrégulière, etc., etc.

Quand chaque chapelle aura retrouvé ses ouailles, on y verra déjà plus clairs. Ensuite, il faut trier les patates : on est Français ou on ne l’est pas, et en finir avec les binationalités, voire même les triples, les quadruples. Il faut choisir ce que l’on est, à qui on donne son cœur, pour qui on donnera sa vie.

De là, en finir avec la transigeance parce que « noirs », « gris » et autre. 2 nationalités, si l’on transgresse le droit Français, on perd le droit de se réclamer de la France, donc des aides sociales, donc du droit à rester sur le sol Français.

Faire un vrai nettoyage des citées. Au diable les « kärchers », les promesses creuses et les cris d’orfraies, et délogeons tous les radicalisés, les racailles et les communautaristes. A coups de matraque s’il le faut, mais immeuble par immeuble. Foin de Kärchers, le napalm fera le boulot. Les « points de deals » disparaitrons par eux-mêmes.

Puisque l’on en parle, on sait très bien qu’il est aujourd’hui impossible de vaincre le trafic de drogue. Il faudrait pour cela atomiser la Colombie, le Maroc, l’Algérie, le Vietnam et l’Afghanistan, pour ne citer que ceux-là. Mais on nous dira que ce n’est pas réalisable, bien que l’on ait assez d’ogives pour ça, pour des raisons éthiques et morales. Mais faire vraiment la chasse au trafic implique un retour aux frontières, des fouilles, aller chercher les dealers, et pourquoi pas les consommateurs, saisir biens et argent, encore une fois supprimer les aides quand elles existent, expulser, emprisonner.

On nous parle aujourd’hui « d’obligations de soins » envers les consommateurs. Quelles obligations ? Qui les a obligés à prendre du crack, de l’héroïne ou de la cocaïne ? Certes pas la France. C’est un choix personnel qui doit être assumé personnellement, et au bout de 10ans dans une cage de trois mètres sur deux, on fait le pari que beaucoup seront sevrés avant de sortir.

Et réprimer toutes velléités d’attaque des Forces de l’Ordre, à balles réelles si nécessaire, pour faire revenir la peur du gendarme.

Il existe des pays où la peine minimale c’est 10ans de prison. Et point besoin de faire le tour de la planète : c’est en Europe ! Des prisons où il n’y a ni téléphone, ni télé, ni salles de sport et rien de ce que l’on peut trouver dans les hôtels 4 étoiles en France. Et même, puisque cela fait l’actualité, les prisons Ukrainiennes feraient hurler les bobos gauchiasses d’horreur devant les conditions des détenus.

Là-bas, la prison est punitive, et seulement punitive. Pas un putain de club Med comme en France !

Alors oui, pour toutes ces raisons et bien d’autres encore, nous revendiquons d’être « factieux », nous revendiquons notre liberté de voir, et de dénoncer, la réalité dans toute sa laideur.

C’est pourquoi, lorsque les baveux gauchistes Woke croient nous dénoncer, nous sommes fiers d’assumer d’être nous, les factieux.