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Chat gris

Philosophes de comptoir

Photo du rédacteur: Buck Et Le ChatBuck Et Le Chat

Dits de comptoirs, ou la philosophie et le remake (jeu de mot) du monde actuel vu par deux pochards : Le Chat et Buck


On était tranquillement accoudés au comptoir du troquet du coin, de bon matin, quand la discussion à dérivé autour d’un petit blanc et d’un pousse café, sur Pinpon-Mazeratti.


Le ministre de la Justice se fait justice, mais cela reste interdit pour les quidams comme vous et nous. Et pour ce faire, Môssieur Dudu utilise les ressources de l’État, donc notre fric, et nos valeureux fonctionnaires pour régler ses petits comtes personnels.

D’ailleurs, comme un ami nous le faisait judicieusement remarquer, il est quand même étonnant, quoi que même pas surprenant, que les dits fonctionnaires soient logés à si mal enseigne.

En effet, Missiou le sinistre de l’injustice bénéficie de la pleine application de la présomption d’innocence, puis, même trainer par les poils, rares, de la poustache devant un tribunal se voit soutenue sine qua non par sa hiérarchie.


Le contraste est tellement frappant qu’on en a encore la joue qui chauffe quand on voit de quelle façon les factionnaires sont maltraités.

Dans un premier temps, la présomption d’innocence est caduque. Le pauvre gars ayant appuyé par erreur sur la gâchette, 12fois (on déconne !), se voit aussitôt suspendu sans soldes, et même pas à 20% ni à 50%. Pour le dire de façon plus simple : sans salaire.

Ensuite, le voilà trainé devant une jurisprudence civile et en même temps devant les services disciplinaires. Notre individu se voit donc faire face à deux juridictions distinctes qui veulent sa peau. De fait, le choix est simple : soit il est reconnu non coupable par la juridiction civile, mais il peut aussi être reconnu coupable par l’administration, et être viré. Soit tout le monde le reconnaît non coupable, et il sera invité à reprendre ses fonctions sans rattrapage du/des salaire perdu (à moins de s’appeler Indiana Jones). Soit il est reconnu coupable par tout le monde, et là, il est dans une merde terrible.

Il faut quand même rappeler que l’IGPN, les fameux « bœufs-carottes », sont plus enclin à faire des coupables parce que cela joue sur leurs carrières, qu’autre chose.


Et la carrière de notre pauvre clampin qui n’as rien demandé à personne ? Elle sera plombée jusqu’à la retraite, sans tableau d’avancement, s’il s’en sort, endetté par les mois d’enquêtes pendant lesquels il touchera pas un round en continuant à payer ses factures, divorcera, perdra la garde des mômes parce que sans travail, voire même finira en taule, condamné par un juge gauchiste et de petits carriéristes dans le cas contraire.


Comme quoi, il vaut mieux être ministre, même incompétent, que Policier compétent.


Et pourtant, nos Policiers, nos Gendarmes, nos Forces de l’Ordre dans leur ensemble, font partis des professions les plus méritantes.

Quel gosse n’a jamais rêvé d’être le policier qui arrête les voleurs ?

Et ces hommes, et ces femmes, qui connaissent mieux la réalité qu’un député de la NUPES, puisque eux la voit tous les jours, voit les effets de l’immigration incontrôlée, des points de deals, des batailles rangées entre racailles, des agressions, des vols, et de tout un foutoir dans lequel ils pataugent sans même une corde de sécurité.


On ne pourra jamais dire tout le respect que l’on a pour ces femmes et ses hommes, qui pourtant mériteraient d’être autant applaudis qu’au lendemain des attentats, chaque jour. Et non subir des tentatives de meurtres par la racaille islamo-gauchiste qui boit les merluchonnades jusqu’à la lie ! Bordel !


Et nos amis, et connaissances, nous disent tous la même chose concernant le travail dans les Forces de l’Ordre : c’est le bordel mon colonel !


On fait plus du harcèlement au rendement, du harcèlement psychologiques, des remarques désobligeantes racistes ou sexistes, bref tout ce qui est possible pour bouter dehors sans indemnités le moindre fonctionnaire qui aimerait juste pouvoir faire son travail.

On reconnait plus facilement le mérite du carriériste qui va remplir 3 carnets de PV par jour que celui va arrêter un assassin radicalisé une fois par mois, après 2ans d’enquête, avec des moyens limités, et sans aucuns appuis ni des politiques, ni de la hiérarchie.

La maison poulaga a pris du plomb dans l’aile. Et c’est pas le minable sinistre de l’injustice qui va arranger les choses.


On souhaite le courage à notre ami, qui est un bon mec, et à tous ces hommes et femmes qui bravent chaque jour le danger, les réprimandes et les brimades pour être au service de la France, pour être notre protection, et nos garde-fous.


Soutien à nos amis, et à tous les valeureux fonctionnaires des Forces de l’Ordre.


Buck Et Le Chat Radicalisés pro-police

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