Le ministre de l’éducation, en déplacement en Virginie (USA), accuse la France de racisme. Le gouvernement Macron n’a pas son pareil pour recruter des gens complétement hors sol, à l’ouest, déconnecté de la réalité et bien d’autres mots doux.
Comment faire confiance à un type qui accuse son propre pays, en étant ministre de ce même pays, de racisme pour faire « bien » dans les cocktails mondains ? L’imbécile veut du « bonheur » et du « bien-être » dans une école où l’on terrorise la moindre velléité de genre, d’affirmation d’un quelconque sentiment d’amour envers la France, sa géographie et son Histoire ?
Le désarroi dans lequel sont plongés les enfants de cours élémentaires quand des infirmières leurs expliquent qu’ils peuvent être ce qu’ils veulent, qu’ils « doivent » être différents pour rejoindre une unicité faites de différences, faites d’un vivre à côté des autres et non plus « avec » les autres et leurs différences.
Les parents qui, comme nous, sont animés d’un fort sentiment patriotique, sont désarmés face à la puissance idéologique d’un Wokisme dé-constructeur d’identité, face à la propagande répandue dans les classes par un islamo-gauchisme agressif.
Comment, dès lors, arriver à faire comprendre à nos enfants que non, être un garçon n’est pas un tort, qu’il n’est pas plus obligé de jouer à la poupée que de s’habiller en jupe, ou bien que non un fille n’est pas obligée de changer de sexe pour fuir le patriarcat et le machisme des hommes tous violeurs en puissance.
Il relève là, encore, d’une attaque frontale à l’épanouissement des enfants, une torture psychologique forçant les petites filles a détester leur père, et les petits garçons, leur mère. On insinue qu’il faut avoir peur du père, ce machiste patriarcal homophobe, violeur patenté, puant le genre masculin hétéro en faisant des barbecues. L’idéologie gauchiste s’introduit dans nos maisons par la tête de nos enfants, par leurs esprits, les inéduques pour les rendre plus malléables, et plus facilement endoctrinés à la non conception de la formulation d’un grand… rien.
Combien d’entre nous ne se sont pas fait réprimander parce qu’on laisse le robinet ouvert, par nos propres enfants sachant à peine lire, et pourtant déjà initiés à l’écologie ? Combien ont dû, avec patience, et en cherchant les meilleurs mots, expliquer le terrorisme sans pour autant faire dans l’amalgame ?
Seuls les gauchistes ne prennent même pas cette précaution oratoire, car pour eux, tous ceux qui ne pensent pas de la « bonne » façon sont des salauds fascistes, racistes, machistes, etc.
Et pourtant, nous devons expliquer patiemment la différence entre un enculé de terroriste et Mr Ahmed, qui porte la djellaba en allant à la mosquée le vendredi. Nous devons leurs faire comprendre la différence entre le « bien » et le « mal », entre Boubacar, racaille violente qui insulte profs et racket les autres à coups de poings, en sachant à peine lire et encore moins écrire, et Rachid, passionné par la France, qui travaille bien en classe et ne fait pas de bruit.
Mais tous nos efforts sont vains, car après s’être exténués tous les soirs à apaiser les esprits tourmenté de nos enfants, dès le lendemain, la fabrique idéologique à crétins efface tout pour former et endoctriner les futurs combattants, islamo-gauchistes, du mâle blancs hétéro sexuel genré.
Et on verra bientôt des enfants dénoncer leurs parents, pour pensées contraire aux diktats de la dictature Woke, ou avoir fait une blague innocente.
« 1984 » ou encore « Fahrenheit 451 », tout en étant imaginaires, n’en sont pas pour autant si loin d’une réalité qui rattrape la fiction au pas de course. L’abrutissement de la société, la destruction de la moindre identité, de la moindre pensée contraire, l’inculture et la déconstruction des genres et de l’Histoire, tout y est, tout est là, non plus dans des films, mais dans une réalité terriblement hurlante.
Et on a vu cette déconstruction de l’identité savamment instruite dans les écoles, quand les enfants ne vont plus aux commémorations, ne savent plus « pourquoi », et ce que l’on commémore. Tout comme ils ne peuvent comprendre la traite négrière du XVIIIème siècle, si on ne commence pas par expliquer le contexte historique.
C’est ce « détournement » de l’Histoire, cette prise d’otage, ce « hijacking » de la connaissance, qui détourne le mérite de la France, pays parmi les premiers à abolir l’esclavage, pour faire des Français non plus d’indifférents spectateurs mais les complices des négriers d’il y a 300ans. Et on est « vent debout » contre le passé de l’esclavage, alors que l’on se rend complices de pays qui le pratique encore aujourd’hui.
Aujourd’hui, on apprend, dans ces institutions de la déconstruction, qu’être blanc c’est mal. Qu’être genré garçon ou fille, c’est mal. Qu’être hétéro, c’est mal. Qu’être Français , c’est mal. Que de savoir réfléchir par soi-même, c’est mal. D’aimer la France, c’est mal. De vouloir apprendre l’Histoire, c’est mal si ce n’est pas celle réécrite par les idéologues. Que de manger de la viande, c’est mal. Que de ne pas être musulman ou noir, c’est mal. Brandir un drapeau Français, c’est mal. Refuser les immigrations sauvages : c’est mal. En vouloir à Ahmed parce qu’il nous a volé, c’est mal.
On est, quoi qu’on en dise et à la vue de tous ces exemples parmi tant d’autres, en plein dans un univers décrit comme « dystopique » par les critiques d’aujourd’hui. On nage dans ces films où l’autoritarisme et la dictature de la pensée sont les seules lois, la seule façon autorisée de vivre sinon, c’est la mort pour tous les réfractaires.
Tout comme les hyènes gauchistes réclament la tête des « fachos » qui ont le seul tort premier d’être… Français.
Les exemples sont nombreux : là où on nous enseignait Colbert et ce qu’il a fait pour la France, on n’en plus maintenant que pour l’accuser de racisme. De là à accuser Henry IV et sa poule au pot de machisme patriarcal ou de lobby anti-végétalien, il n’y a qu’un pas. Tout comme d’entendre tantôt de tous les bienfaits de la mondialisation, s’en rien en dire sur ces méfaits.
On insiste tant, et tant, sur l’idéologie dans nos écoles, que cela rougir d’envie les Hitlerjungend de 1938. Bien qu’on s’en défendra surement en nous traitant de « fachos » (selon le petit dictionnaire de l’anti-réactionnaire, 12 pages et des images pour 4587,99€ dans toutes les librairies agréées « Socialisme National »), le modèle d’origine est pourtant reproduit à l’identique.
Comme on est contre l’endoctrinement, on a été de vilains parents : on à appris au drôle à lire, à réfléchir par lui-même, à peser le pour et le contre, à accepter les différences entre les Français et à rejeter l’invasion, à tolérer les us des autres, si ces autres respectent les siens. On lui apprend l’Histoire de son pays, « son » passé Historique avec tout ce qu’il y a eu de bien et de mal, pour avoir des racines bien ancrées dans le sol de France. On l’accompagne aux commémorations pour qu’il apprenne pourquoi il doit être fiers de la France, et de ceux qui ont versé le sang afin qu’il soit, aujourd’hui encore, Français.
On lui enseigne tout ce que l’école n’enseigne plus : la discipline, le respect, le mérite du devoir bien fait, la récompense pour avoir « bien fait », et non pour avoir vaguement essayé entre deux jeux ou vidéos tik-tok, l’ordre, le soin, et surtout de ne jamais apprendre bêtement n’importe quoi sans le soumettre à la réflexion.
On n’en fait pas un futur « facho », on en fait un futur Français fier d’être genré masculin, blanc, hétéro ou non, qu’importe, fier d’avoir un pays construit dans une Histoire riche, d’un pays qui a appris de ses erreurs, d’un pays forgé dans la sueur et le sang pour un monde à la paix, ô si fragile aujourd’hui.
On en fait un Français tolérant des autres, à partir du moment où il est considéré sur son propre sol, qui accepte les différences mais en rejette la soumission et le convertissement.
On en fait, tout simplement un Français qui aime la bonne chair, son pays, être une homme blanc, qui a l’amour de son Histoire et de pays chevillé au corps, et des frissons en entendant la Marseillaise.
Un Français prêt à transmettre us et coutumes, traditions et valeurs, Françaises, à sa descendance ou à d’autres.
Et une putain de tête de mule que l’on ne pourra convertir qu’une fois mort, et la France arrachée de ses doigts raidis par la camarde. Et même encore, son héritage venu du père, du grand-père, de l’arrière-grand-père, etc., ne pourra jamais, lui, être converti à quoi que ce soit sinon à la France, dès lors qu’il l’aura transmis.
On lui a appris la liberté, et une fois goûtée, cette liberté ne pourra jamais lui être enlevée.
Même si la fiction rattrape et dépasse la réalité.
Buck Et Le Chat
Contemplatifs actifs pro-France
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