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Chat gris

Que dire de plus ?

Photo du rédacteur: Buck Et Le ChatBuck Et Le Chat

On a l’impression que tout a été déjà dit, que tout a été fait, et on peine à trouver encore des raisons de redire, encore, les mêmes choses. Car que dire de plus quand il est visible que les efforts pour ouvrir les yeux des autres semblent si vains ? Rien. On a plus le sentiment qu’il faut laisser faire, laisser aux Français le temps d’ouvrir les yeux sur la réalité.


Les laisser comprendre par eux-mêmes, à force d’exemple dans la presse, que l’immigration voulue par Macron ne fonctionne pas, et qu’elle ne fonctionnera jamais à moins d’avoir totalement remplacer le peuple Français. Même si, à cause de notre impatience, on a envie de les prendre par le col pour les forcer à regarder, à y mettre le nez, dans la merde.


Même en sachant que certains trouverons que c’est beau, la merde, et en mangerons pour vouloir nous prouver que c’est bon.


Et même Le Chat veut me prouver que c’est inutile, coucher sur mon bras pour m’empêcher d’écrire. C’est dire si la situation est désespérée.


Alors, que dire de plus à ceux qui ont la gueule de bois après les fêtes, malgré les grèves annuelles de la SNCF qui les a encore empêchés de partir rejoindre leurs familles. Que dire de plus aux parents qui ont vu leurs enfants volé et violé par les migrants du centre d’accueil d’à côté. Que dire de plus aux victimes de ces mêmes migrants, ou de la racaille, qui restent sur notre sol alors qu’ils ont 24 OQTF qui ne seront jamais exécutées.

C’est vu, porté à la connaissance de tous, entre l’incompétence et la soumission d’un gouvernement à l’Europe, l’immigration intensive des rebus de l’humanité, la violence dans les rues, les hausses de prix et des taxes exorbitantes, chaque jour en s’étalant en une sur les journaux.


Mais même les « une » les plus atroce ne soulèvent même plus le cœur, il faut vivre avec, on est bien obligé : le gouvernement préfère que l’on s’enfonce dans l’abrutissement plutôt que de nous rebeller. Il préfère et même nous y contraint sous peine d’être dénoncé d’horribles fascistes d’extrême droite. D’être la lie de la société, parce que nous avons le tort de voir la réalité.


C’est aussi la raison pour laquelle on a diminué les parutions de nos textes : on a l’impression de parler dans le vide, d’envoyer des bouteilles à la mer en espérant que cela réveillera les consciences, d’avoir déjà tout dit. On s’en voudrait de se répéter jusqu’à lasser.


On peut paraitre maussade, désabusé, et de fait c’est le cas. Peut-être à cause du temps, peut-être parce que nous aussi, on est fatigués de tout cela et de voir que rien ne bouge, ne change.

Mais on continue d’y croire, on continue d’espérer que le peuple Français ouvrira les yeux, fera force et rage contre ceux qui ont voulu les remplacer par d’autres peuples, par une autre civilisation, par une autre culture pour survivre et renaître.



Optimiste ? Peut-être, mais parce que nous avons encore la force de nos convictions, parce que nous croyons en la France et son peuple, parce que nous savons que l’injustice sera vaincue, on veut continuer à croire et à refuser de voir la merde pour autre que ce qu’elle est : de la merde. Et on refuse d’y goûter même si les wokistes islamo-gauchiste veulent appeler cela une rose.


Buck Et Le Chat Optimistes sans frontières

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