On est toujours le con de quelqu’un d’autre, mais, hélas, il semble que l’OMS n’est pas encore prise la mesure de l’épidémie qui fait des ravages dans la population mondiale.
Audiard le disait si bien : « un con, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît », mais on doute qu’à l’époque il n’avait pas anticipé un futur fait de tik-tok, insta, facebook et tweeter. Malgré tout, s’il était encore de ce monde, il en aurait beaucoup à dire.
On prend pour preuves que les mêmes connasses qui prenaient la défense de l’invasion migratoire, de l’islamisation, du genre Woke et de #mytho, se film aujourd’hui en train de se couper une mèche de cheveux en « soutien » aux femmes Iraniennes. Dommage qu’on ait le poil ras sinon on aurait bien fait pareil, mais on se pose la question de savoir si l’Ayatollah (voir), serait tellement horrifié et pris de culpabilité à voir une Binoche islamo-gauchiste se couper 5cm de touffe. De cheveux ! Pervers !
Car le message est détourné du véritable combat des femmes Iraniennes, elles ne se battent pas pour avoir le droit d’avoir les cheveux courts, mais celui d’enlever le satané torchon islamiste, machiste, patriarcal, et sexiste imposé par un islam rétrograde.
Les trois salopes qui font de la com de ce mouvement, après avoir brailler en cœur « hallal akbar » à côté du Bataclan, fait la promotion du voile islamiste, attire le regard sur un fait pourtant visible : les trois ont le cheveux court et aucunes de ces trois salopes ne se sont couper une mèche.
Le combat pour les droits de la femme, oui, mais faut pas pousser quand même.
D’autant que la NUPES (Nouvelle Union des Parias Émasculés et des Salopes), est bien mal placée pour vouloir prendre la défense des femmes alors que dans leurs propres rangs sévices maltraitance des femmes, coups, viols et on en passe et pas des meilleurs.
Comme quoi, on pourra citer l’exemple parfait de la NUPES sur le faites ce qu’on dit, pas ce qu’on fait !
Sur un tout autre sujet, on ne pouvait se retenir plus longtemps sur la crise énergétique.
Alors il faudra se mettre d’accord une bonne fois pour toutes : entre le COVID (oui, on est réfractaires et puis on dit « le » et non « la » idiot et moche), et la crise énergétique.
On ferme les fenêtres pour économiser le chauffage, et on ouvre la porte pour aérer à cause du COVID ?
Il faut quand même savoir que le gouvernement, après avoir préconiser de chauffer à 19°C, à revu sa copie et demande maintenant de chauffer à 18°C. Dans 15 jours ce sera 16°, et pour Noël on nous commandera de chauffer à 8° sous peine d’amendes.
On voit venir les brigades de contrôles venir voir si on bat notre femme, si on n’oblige pas l’autre à coucher, si l’homme fait la vaisselle, et on prendra la température pour s’assurer que l’on est de « bon » citoyens.
Décidément, on l’a déjà dit, mais notre société ressemble de plus en plus à l’Oceania et à l’ « Angsoc » de 1984.
Avec un peu d’insistance, on sombrera dans un patchwork mélangeant 1984 et Idiocratie, tant la volonté gauchiste, de nivelé par le bas, tend vers les gouffres insondables de la connerie.
On se chauffera avec du bois d’arbres morts en entretenant l’illusion du progrès social, on défendra l’écologie vertueuse en arrosant avec de l’eau polluée, pour, trop tard, toujours trop tard, se réveiller un jour car le monde ne peut plus se nourrir lui-même.
On cherchera alors des intellectuels pour réinventer le fioul, l’agriculture, les usines et les conserves. On voudra aller sur la Lune, ou sur Mars, reconstruire des tracteurs, dépollué l’eau, chasser des lapins pour bouffer, créer de l’électricité avec des centrales nucléaires. Faire rouler des voitures au gasoil, rendre un plus au fil des décennies la population plus intelligente.
Les crétins seront pourchassés et internés pour cause de connerie, les complotistes formés à la compote de pommes, et on réapprendra l’art, la culture, l’intelligence, l’écriture et la musique.
Bref, on refera un monde sur les ruines de ce vers quoi notre société est résolument tournée : l’Idiocratie Orwellienne (Brevet déposé).
Un monde qu’on a laissé déconstruire par les idéologues écolo-islamo-gauchistes sans rien faire, à part nous lamenter.
On est tellement désabusé qu’on va prendre une bière à la place d’un café : il vaut mieux être saoul que con : ça dure moins longtemps.
Buck Et Le Chat Réfractaires à l’ordre mondiale de la connerie
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